Death March 3-3 : Au Marché aux Esclaves

Traduction : SamiHuunter
Adapt: Soreyawari
Check : Nekoyashiki-san


Hello, c’est encore moi !

Et oui, on ne se débarasse pas de SamiHuunter aussi facilement o/

Je vous offre ce chapitre de Death March avec tout l’amour que je peux vous donner 😀

Juste pour éviter de taper des paragraphes entier dans des notes plus bas, je vais expliquer un peu quelque chose :

Dans ce chapitre, on parle de deux types d’esclaves (trois si on comptes les criminels, mais on s’en fout d’eux) : Les esclaves communs (traduit depuis ‘General slaves’ : en général asservis pendant une période détérminée. Ceux-là sont normaux je suppose parce qu’ils sont humains et sont assez nombreux.) et les esclaves inférieurs (traduit depuis ‘low slaves’ : ils valent moins que les autres. Je suppose que ce sont des hommes-bêtes ou autres espèces différentes des humains. Ceux là sont esclaves à vie). Je sais que la traduction n’est pas la meilleure, mais je pense que c’est ce qui colle le mieux en français. 

Les esclaves criminels sont des criminels (duh). Les esclaves criminels de guerre, comme ce n’est pas quelque chose d’expliquée, je pense pouvoir supposer correctement en disant que ce sont les esclaves prisonniers pendant une guerre (même si on parle plutôt de prisonniers de guerres…) parce que dans un monde médiéval, les criminels de guerrre n’existent très certainement pas… Enfin ça ne reste que mes hypothèse, hein !


 

Ici Satou. Il y a cette chose appelée une relation inexplicable. Même si je n’en avais pas envie, on se rencontre à nouveau.
Il semble que ce soit le destin.

La marché aux esclaves occupe environ de 200 à 300 mètres de diamètre sur la place, des feux sont allumés tous les 20 mètres.
Exactement comme pour un festival, plusieurs fins piliers en bois sont érigés, ils sont connectés avec une corde nouée avec d’innombrables fines pièces de métal qui étincellent en réfléchissant les lumières magiques. Si ce n’était pas un marché aux esclaves, ce sentiment fantastique aurait été parfait pour un rendez-vous…

Une corde est tendue à l’endroit qui a l’air d’être le centre de la vente aux enchères.
La vente aux enchères des esclaves n’a pas encore commencé, mais quelques musiciens, sur l’estrade, jouent un air qui semble obscène.

Nous n’allons pas sur la place, nous marchons juste le long de la rue de la place en l’observant.

« Satou-dono ! »

Dono ? Je ne connais personne qui m’appelle…
C’était le marchand d’esclave que nous avons sauvé de l’araignée dans le labyrinthe, Nidoren-shi. Sortant d’une petite tente au milieu des wagons d’esclaves, il vient par ici. Des filles qui sont enchaînées les unes aux autres sont alignées au-dessus de l’attelage.

« Les esclaves sur l’attelage sont celles que je vais exhiber pour l’enchère d’aujourd’hui. Ils y en a qui possèdent des compétences d’arithmétique et de secrétariat parmi elles, pourquoi ne pas en employer une, Satou-dono ?… Puisqu’elles sont correctement éduquées, elles sont toutes vierges, mais je peux garantir qu’aucune d’elles ne dira non pour la nuit. » (ndt : Night time, je pense que tout le monde a compris dans ce contexte… / ndc : quel est le rapport entre être éduquée et être vierge pour lui ? Info bonus pour vendre ?)

…Éduquées, hein ?
Oops, plutôt que de penser ironiquement, j’ai d’autres affaires.

« Je suis désolé, mais je dois faire passer à mes esclaves la procédure formelle en premier avant de penser à de nouvelles…
– Oya ? Vous voulez les vendre ? Si c’est le cas, utilisez notre firme je vous prie !… Si c’est pour tout de suite, nous pouvons les échanger contre de magnifiques esclaves vierges !… Qu’en dites-vous ? » (ndc : je crois que c’est son argument de vente…)

Il pousse certainement l’affaire avec force. Je n’en ai pas la moindre intention cependant.
…Pas la moindre, donc s’il vous plaît, ne tirez pas sur mes manches en me regardant avec ces mines anxieuses. Je caresse vivement la tête de Pochi et Tama. Je ne peux pas voir derrière moi, mais je sens que Liza est nerveuse.

« Je l’ai déjà dit précédemment, mais je n’ai aucune intention de les vendre. »

Oui, j’ai par contre envie de les libérer.
Pochi et Tama relâchent leur prise sur la robe.

« Vraiment, c’est regrettable. Alors, de quel genre de procédures avez-vous besoin ?… Ce n’est pas pour les relâcher, n’est-ce pas ?
– Puisque nous sommes encore sous un contrat temporaire, je pensais en faire un officiel. Connaitriez-vous un endroit où cette procédure peut être faite ?
– Si ce n’est que cela, je peux m’en charger. Puisque j’ai un subordonné qui a la compétence [Contrat].
– Dans ce cas, pouriez-vous le faire ?
– Certainement. »

Nous sommes invités à l’intérieur de la tente de Nidoren-shi où on nous offre des sièges. Il ordonne à un subordonné de se préparer pour le contrat.
Puisque le contenu des documents est déjà fixé, nous n’avons besoin que d’écrire les noms du maître et des esclaves pour le compléter.

« Alors, s’il vous plaît, écrivez votre nom ici. On n’écrit pas le nom des esclaves, donc mettez-y l’empreinte de leur pouce en utilisant cette encre. »

Je signe là où l’homme a indiqué. Les lignes fixées du texte sont [à qui l’esclave appartient], [L’esclave ne peut pas blesser son maître], [L’esclave suit l’ordre du maître], [L’esclave doit entretenir son corps], juste c’est quatre-là. C’est comme les trois lois fondamentales de la robotique, même si l’ordre des deux derniers est inversé. (ndt : Les trois lois de la robotiques ont été inventées par Isaac Asimov… Vous voyez que je connais quelques trucs quand même ! *se met à pleurer*… si vous ne savez pas ni ce que c’est, ni de quoi ça parle, Google est votre ami ! nda: Vouiiiii I, robot!! / ndc : pour quand les situations de bug pour les esclaves ?)

Une fois le contrat écrit rempli, le rituel commence.

« ■■■■■■■■■■■ ■■■ ■■■■ ■■■■■■■■ Contrat ! »

Qu’est-ce que… il ?! C’est de la magie ?
Le dernier (Mot de Commande) est prononcé, puis le document brûle et des cendres, une lumière bleue nous enveloppe moi et Liza dans un halo qui clignote deux ou trois fois avant de disparaître.

Quand je regarde le statut de l’homme, il a effectivement [Contrat] dans sa colonne de compétence.
Peut-être que c’est une compétence qui n’a qu’une seule magie ?
(ndt : je suis tout aussi confus que vous les gars… De quoi qu’il parle ! D: / nda: Rappel est fait que les compétences sont des choses comme [Magie de Flamme], alors que cette compétence englobe plusieurs magies/sorts comme “tempête de flamme”, “boule de feu” etc… On peut utiliser une magie sans avoir la compétence, mais la consommation de MP est supérieure et le sort moins efficace… Enfin ça c’est des explications de plus tard^^)

>Compétence [Contrat] acquise

Ok, essayons plus tard de voir si cette compétence est utilisable.

« Avec ceci, le contrat d’esclave est complet. Si vous le souhaitez, vous pouvez confirmer le contrat avec la Petite Pierre de Yamato au centre des enchères. » (ndt : ici, on parle de simplified Yamato Stone, en gros, une pierre de Yamato inférieure, je pense que Petite Pierre de Yamato est satisfaisant !)

Une fois les contrats des trois finis, j’ai voulu payer, mais il semble que ce soit le rôle de Nidoren-shi, donc on m’a demandé d’attendre. En y repensant, il est sorti quand le premier rituel a commencé. Il semble être de retour immédiatement. Il a vraiment l’air occupé.

« Merci, puis-je vous poser une question ?
– Oui, que voulez-vous savoir ?
– Est-ce rare que quelqu’un relâche ses esclaves ?
– Bien sûr, si on ne parle pas des esclaves communs qui ont la durée de leur sentence fixée, je n’ai jamais vu des gens libérer leurs esclaves inférieurs. J’ai entendu des histoires de personnes relâchant leurs esclaves qui ont travaillé pendant des années, mais je ne l’ai jamais vu de mes propres yeux. »

C’est si rare que ça ?

« Il est donc possible de les libérer ?
– Oui, c’est possible. À part les esclaves criminels et criminels de guerre. Pour ces ceux-là, il n’y a qu’un officier d’état ou un noble supérieur qui est autorisé à le faire.
– Pour les relâcher, est-ce que c’est la même chose que le contrat de tout à l’heure ?
– C’est exact. J’ai déjà relâché des esclaves communs à plusieurs reprises auparavant. Avec la compétence [Contrat], il est également possible d’annuler le contrat. »

Puisqu’on est déjà là, devrais-je relâcher les filles-bêtes maintenant ?
Je peux juste les embaucher si elles le veulent après leur libération.

« Maître, c’est présomptueux de ma part, mais permettez-moi de m’introduire dans la conversation. »

Liza, qui nous écoutait en silence la tête baissée, commence à parler. Je me demande si Pochi et Tama étaient nerveuses à cause du rituel, elles dorment en enlaçant les jambes de Liza.

« Il n’y a pas de problèmes, qu’y a-t-il ?
– Si ça ne dérange pas le maître, alors s’il vous plaît ne nous relâchez pas si possible. »

Elle parle lentement et clairement.
Est-ce que tu lis dans les pensées ?! (ndt : on parle d’esper dans la version anglaise, sans doute dans l’original également… Malheureusement, on a pas vraiment d’équivalent en français…)
Ou plutôt, pourquoi ne veut-elle pas être libérée ?… N’est-ce pas mieux d’être libre ?

« Certainement, dans le territoire de ce comte, les hommes-bêtes et les hommes-lézards ne peuvent pas exister s’ils ne sont pas esclaves. S’ils sont aperçus par l’armée, alors ils sont exilés, il y a également une grande possibilité d’être lapidé à mort.
– Oui, de plus, ma tribu n’existe plus, et comme vous l’avez entendu plus tôt, Pochi et Tama ont des circonstances similaires. » (ndc : …heum, je viens d’y penser, mais sa tribu, ce serait pas la tribu écaillée dont il est devenu l’ennemi juré ? Du coup, ce serait pas un peu beaucoup sa faute si elle a plus de tribu où revenir ?)

Elles peuvent essayer de compter sur leurs tribus, mais ceux qui n’ont pas de famille sont traités comme inférieurs à des esclaves.
Je suis bien content que Pochi et Tama dorment.

Semblant vouloir briser la lourde atmosphère, Nidoren-shi fait entrer 5 filles.
Elles sont toutes les cinq des beautés étrangères. Elles portent toutes des vêtements légers qui s’arrêtent aux genoux. Puisque c’est assez fin, la partie au niveau de la poitrine est transparente.

« Avez-vous terminé votre contrat ? S’il vous plaît, jetez un regard sur elles pour le moment.
– Avant cela, j’aimerais payer le prix des contrats, si possible ? » (ndt : il me semble que l’officier avait dit que ça allait être gratuit… mais bon… qu’est-ce que j’en sais ? XD / nda: non c’est le contrat de la ville qui est gratuit, l’officiel est payant!)

Contentons-nous de payer rapidement et rentrons à la maison.

« Non non, puisque j’ai été gracieusement sauvé du labyrinthe par vous, il n’y a aucune commission. Bien entendu, puisque cela ne serait pas suffisant, je vous fais une réduction de 30 % pour les esclaves. »

Kuh, il a fait le premier coup. Donner un petit bénéfice en premier pour rendre la conversation plus facile après, c’est les mêmes techniques de sollicitation que celles des obscures nouvelles religions.

Comme il m’était impossible de refuser, Nidoren-shi a décidé de présenter ses esclaves chacune leur tour.
Puisque je somnolerais si je me contentais de l’écouter, j’ai décidé d’utiliser cette occasion pour entraîner la compétence [Estimation]. [Estimation] est une compétence active en permanence, mais je dois quand même penser [Je veux savoir] ou [Je veux estimer] en regardant un objet, puis le résultat de l’estimation apparaîtra dans mon esprit.
Puisque les détails seraient affichés sur la RA qu’importe ce que je fais, j’éteins les autres indicateurs à l’exception du radar.

Pendant la rotation de deux groupes de 10 personnes, j’ai juste répondu à demi-mots pour rester poli.
Tout de même, leurs points positifs n’étaient que des choses comme leur virginité ou leurs compétences, pourquoi ça ? Les gens de ce pays aiment-ils les vierges à ce point ?

« Êtes-vous fatigué ? S’il vous plaît, veuillez endurer pendant encore un petit moment, les prochaines sont les dernières. »

Dit-il en faisant entrer le groupe suivant, la belle fille aux traits orientaux et aux cheveux noirs d’il y a quelques jours fait partie des six filles.
Je vois, donc il garde le meilleur pour la fin, vraiment un marchand doué. (ndt : selon Sami-le-marchand, c’est plus malin de proposer ses plus belles pièces, en général à un prix hors-budget, puis de présenter le reste… Mais ce n’est que Sami-le-marchand qui parle… *disparait dans un nuage de fumée* / nda: Ninja?!!)
Les autres sont… là. La petite fille aux cheveux violets avec le titre qui sonne dangereux est également là. De plus, elle regarde par ici. Elle regarde vraiment avec insistance par ici.
Sans croiser son regard, je jette un coup d’oeil aux autres filles. Une blonde de 15 ans avec des taches de rousseur et une mine contrariée, une grande femme brune avec un visage ovale qui a l’air d’être dans sa vingtaine, une petite fille aux cheveux blonds ternes de moins de 10 ans qui a l’air trop maigre et une fille de 15 ans quelconque avec des tresses rousses qui ressemble à un rat de bibliothèque. (ndt : pas vraiment rat de bibliothèque, mais on s’adapte du mieux qu’on peut !)

Un grand nombre d’entre elles semblent moins bien que les dix précédentes. Auraient-elles un genre de compétence spéciale ?
Quand je jette un coup d’oeil avec [Estimation], la fille aux tâches de rousseur a [Négociation], la femme au visage ovale a [Techniques Sexuelles], la petite fille maigre n’a pas de compétences et celles aux tresses a [Collecte].
Puisque j’y suis, la petite fille aux cheveux violets n’a pas de compétences, et la fille aux cheveux noirs a [Étiquette]. (ndt : pour ceux qui ne savent pas, c’est la manière de se comporter à la cour (normalement), en gros, j’aurais pu traduire ça par Manière Protocolaire ou un truc du genre, mais étiquette c’est bien :3)

Qu’est-ce que c’est que ce défilé ?

« Elles ont peut-être toutes un physique inférieur, mais elles travailleront dur pour leur maître. »

En disant cela, Nidoren-shi parle d’elles une par une. Personnellement, trouve-t-il que le physique de Cheveux-Noirs-san est également quelconque ?

« Qu’en pensez-vous ? Je peux vous offrir les 6 pour le prix de trois pièces d’or si c’est maintenant ! »

Nidoren-shi travaille dur pour les promouvoir. Qu’importe la manière dont on le voit, c’est trop bon marché. Ça voudrait dire que chacune vaut deux pièces d’argent et demie.

« Il a été décidé que celles qui ne se vendent pas bien aujourd’hui et demain seront achetées par la caravane se dirigeant vers la ville minière. »

En entendant les mots de Nidoren-shi, les esclaves pas motivées frémissent derrière moi. La panique commence quand je regarde en arrière.
Déplaçant leurs vêtements de leurs épaules pour exposer leurs poitrines, remontant leurs jupes, prenant des poses étranges, tout le monde essaie d’attirer mon attention avec des méthodes variées. Les deux seules qui n’ont pas changé sont les filles aux cheveux violets et noirs. Comme toujours, la petite fille aux cheveux violets me fixe intensément, pendant que la fille aux cheveux noirs semble déprimée.
Quand les esclaves comprennent que leurs charmes ne marchent pas sur moi, elles abandonnent une par une.

Au moment où Nidoren-shi leur ordonne de se retirer, la petite fille aux cheveux violet reprend contenance.

« Maître ! Maître pense que puisqu’il a ces excellentes esclaves demi-humaines il n’a pas besoin d’autres esclaves, n’est-ce pas ?
– C’est exact, je n’ai pas besoin d’autres esclaves. »

En particulier, je n’ai pas envie de t’acheter toi qui a un titre qui sonne comme un aimant à problème. Absolument !

« Cependant, ces filles sont demi-humaines.
– C’est tout à fait vrai, mais je n’en suis pas mécontent, tu sais ?
– Oui, juste en les regardant, je vois à quel point elles sont chéries. C’est pourquoi ! S’il vous plaît achetez-moi ! »

Je ne comprends pas ce raisonnement.

« Les demi-humains sont évités dans cette cité. Si vous n’avez que ces filles comme esclaves, alors vous ne recevrez même pas un pain si vous les envoyez faire les courses. »

Je vois, je n’avais pas encore pensé à ça.
Cependant, je n’ai pas à acheter des esclaves juste pour ces corvées, je n’aurais qu’à demander à la bonne à l’auberge. Ouaip, après tout, pas besoin.

« Si c’était moi, je ferais les corvées à la place de ces filles !… Le prix est raisonnable aussi, donc s’il vous plaît par tous les moyens, achetez-moi. »

La petite fille aux cheveux violets me regarde avec tout son charme. Des cheveux coupés aux épaules, des iris humides colorés en violet, de fines petites lèvres, des petites épaules tremblantes. Si j’étais attiré par les petites filles, j’aurais du mal à me retenir.

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… Je suppose que je vais l’acheter ? (ndt : Satou ! Souviens-toi ! YES ! Loli ! NO ! Touch ! XD)

Même si je ne suis pas attiré par les petites filles, je pense qu’elle est charmante. Non attendez, je n’en ai pas besoin, si ?

Mais j’ai le sentiment que je dois absolument l’acheter.
Alors j’achète la petite fille aux cheveux violets (Arisa), et en suivant ses recommandations, j’achète aussi la fille aux cheveux noirs (Lulu).

Malgré le fait que je me pose encore des questions, je deviens le maître de deux filles esclaves en plus des filles-bêtes.

 

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12 commentaires sur “Death March 3-3 : Au Marché aux Esclaves

    1. Fufufu… Moi je sais ! Moi je sais !
      Pardon, mon moi de 5 ans s’est juste exprimé tout seul x)
      Et oui, peut-être qu’on en sera plus… peut-être…
      En tout cas, c’est quelque chose d’intéressant mais qui ne sera traduit par mes soins, mais par notre chère Wari étant donné que je suis actuellement en train de m’avancer dans la traduction de Dragon’s Egg (j’ai fini le chapitre 17 ! Yeay !)
      Normalement, les jours de sortis de Death March, à partir de la semaine prochaines, vont être le mardi et le samedi !… Normalement…

      Merci à toi de nous suivre 😉

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  1. J’apprécie beaucoup le manga, je m’arrête sur le chapitre pour une petite remarque sur la parenthèse quand tu a marqué que Satou est l’ennemie des lézard.

    Satou à détruis la race des lézard donc on peux supposer qu’elle parle uniquement de clan quand elle dit que sa tribu a etait detruite et en plus je pense qu’elle parle plus de sa tribu homme-bête et pas là race des lézard en elle même.

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  2. …selon moi, le rapport entre la virginité et l’éducation vient du fait qu’elle se font « inculquer » l’idée de ne pas courtiser pour avoir des faveurs et possiblement qu’avant d’être esclave se n’était pas des salopes(les parents l’ont donc bien élevé 😛 )

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    1. Non, c’est juste que les japonais sont cons, et qu’ils associent « Pas vierge » à « Salope nymphomane »… Pour eux, une femme non vierge est une femme souillée, du coup, les auteurs présentes toujours les héroïnes en tant que vierge, comme ça, les lecteurs sont contents (vu qu’ils s’associent au MC) x)

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