Alezander’s Extended Universe, Chapitre 2

Auteur : TheLordGio
Check : Faust


TheLordGio‘’Bon bah voilà c’est mon anniversaire… J’ai encore pas mal de choses à accomplir, et finir cette LN en fait partie… J’espère que ce Chapitre Deux vous plaira ^^ VOILA !!! Ha j’allais oublier… Un grand Merci à Faust pour le Check de ce Chapitre.’’


Chapitre Deux

Jour – 1

Le tonnerre ne cesse de gronder, mais je tiens bon.

Avec des lianes je mets en place des rondins de bois brûlés aux extrémités, qui proviennent d’arbres coupés par la foudre.

Le vent devient de plus en plus fort.

La pluie ruisselle le long de mon visage.

Jeter mon casque n’était pas vraiment une bonne idée tout compte fait.

Le point positif c’est que je suis en train d’installer le deuxième piège.

Ces temps-ci je mange des petits lézards crus.

L’inconvénient de la pluie c’est que je ne peux rien cuire, et je ne veux surtout pas donner ma position au robot.

Pas maintenant !

Surtout pas maintenant !

Jour – 2

Je me réveille en sursaut.

Je viens de refaire ce rêve étrange.

Une lumière éblouissante qui m’appelle au centre de la forêt.

Je ressens une douleur au cœur et je me réveille ensuite.

Qu’est-ce donc ?

Pour le moment je n’en ai toujours aucune idée.

Je ne suis pas vraiment quelqu’un de superstitieux.

Vraiment pas !

Le moment est venu de me remettre au travail.

Le troisième piège. Je dois creuser un trou, par chance il y a un endroit où la pluie n’a pas totalement ramolli la terre.

La chance d’avoir des arbres géants autour de soi.

Mais il y a un problème, je n’’ai pas de pelle ; je dois donc chercher une écorce de bois assez solide pour pouvoir m’en servir comme d’une pelle.

La première écorce cassa nette au contact du sol.

La deuxième en fit de même.

Je réussis au bout de la cinquième.

Je ne connais pas le nom de l’arbre qui fait ce genre d’écorce, mais elle sont résistantes.

Je commence à creuser.

On connaît tous ce piège, creuser un trou et le cacher ensuite grâce à un quadrillage de tiges de bois recouvertes de feuilles.

Mon hypothèse c’est que le robot ne pourra pas anticiper ce genre de pièges ; car il manque de données.

Et connaissant la distance qu’on a parcouru pour arriver sur cette planète.

Il est impossible que le système qui contrôle le robot ait un quelconque moyen d’avoir accès au web inter galactique.

Au bout de trente minutes, l’écorce se fendit !

Merde ! Faut que j’en trouve une autre !

Creuser le trou me prit plus de la moitié de la journée.

Il me reste environ trois heures avant que la nuit tombe.

Je décide donc de ne pas prendre de pause et de finir les quadrillages pour cacher le trou.

Jour – 3

La pluie se calme !

Le tonnerre gronde au loin…

Le troisième piège ! Il faut que je finisse le troisième piège.

Je me suis déjà pas mal avancé ! Cette fois il me faut tailler des pieux.

Je vais faire un mur de pieux.

Comme ça je pourrais le balancer dessus : avec un peu de chance je pourrais lui détruire tous ses circuits internes.

Durant l’affûtage des pieux.

Je réfléchie au rêve que j’ai fait la veille.

Je fais rarement de rêve. J’en fais presque jamais.

C’est très étrange.

Je ne connais aucune lumière aussi éblouissante.

Vraiment aucune…

Je réussis à tailler tous les pieux.

Je décide de les mettre entre deux arbres.

En espérant qu’il ne m’attaque pas par là.

Espérer, le mot n’est pas juste.

Je ne vais avoir qu’une seule chance pour m’en occuper.

Qu’un seul essai. Je devrais peut-être prévoir un plan B ?

Jour – 4

Je croque dans un petit lézard que j’ai grillé. Je commence à m’habituer au goût ; c’est pas si mauvais que ça.

Un mille-pattes géant passe tout près du mur de pieux.

Il ne faut surtout pas qu’une de ces bêtes active un de mes pièges.

Ça serait impossible de tout remettre en place.

Le dernier piège ; je vais préparer le dernier piège.

J’ai remarqué qu’une fois la bave de mille-pattes chauffée, elle a tendance à faire fondre le métal ;

j’ai fait quelque tests hier soir sur ma montre, étant donné qu’elle ne donne plus d’informations !

Ça plus tôt bien marché.

Je vais donc devoir retourner en dehors du périmètre.

De toute façon je ne risque rien tant que la pluie continue de tomber. Mais il faut quand même que je reste prudent.

Je passe à côté du mur de pieux. Je m’accroupis près d’un arbre.

Aucun bruit.

Vraiment aucun.

Ah, attendez une minute.

Il y a une autre bête devant le cadavre du mille-pattes; merde !

Une araignée géante.

Si elles sont comme celles de ma planète natale. Elle doit être venimeuse.

Je pourrais la tuer pour récupérer son venin ça serait sûrement plus efficace que la bave du mille-pattes ?

Le problème c’est que si je me blesse durant l’affrontement cela diminuera clairement mes chances de survie.

Que faire ? Abandonner le quatrième piège ? Et…

 »Crack ! » je viens de marcher sur une brindille de bois.

La tête de l’araignée se retourne lentement vers moi.

Chacun de ces six yeux noirs me transperce l’âme.

Un frisson de peur parcourt tout mon être.

C’est quelque chose que l’on ressent juste avant que quelque chose de définitif se passe.

Une chose qu’on appelle : la Mort.

Merde !

Je dois abandonner.

Ma vie en dépend ! Je suis clairement pas de taille.

J’ai vraiment de la chance d’être encore en vie ; je décide donc de faire demi-tour lentement. L’araignée se remit à manger le mille-patte.

Me revoilà dans ma zone de sécurité. Je vais avoir besoin d’une nouvelle idée…

Jour – 5

La pression atmosphérique commence lentement à s’alléger..

La pluie devient moins violente.

Pendant ce temps, je commence à tailler des lances. Et à aiguiser du silex.

La rencontre d’hier m’oblige à m’armer ; mon couteau de survie ne suffira pas pour me protéger.

Malheureusement, le fait de ne pas avoir pu placer un quatrième piège crée un passage pour le robot. Il tentera donc de passer par là.

À moins que je réadapte mon plan ?

Il reste deux jours avant que la pluie ne s’arrête !

Je viens juste de finir mon tout nouvel armement.

J’ai donc des lances avec des pointes bien aiguisées.

Il va falloir viser les articulations du robot.

Demain je vais…

la pluie s’arrêta brutalement !

… Merde !

C’est arrivé un jour avant.

Le problème avec les probabilités c’est qu’elles peuvent ne pas être juste.

La peur recommence à parcourir tout mon corps.

Dans les feuillages,

Je vis deux yeux rouge vif au loin.

Le Robot !

 

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4 commentaires sur “Alezander’s Extended Universe, Chapitre 2

  1. Désolé, mais l’adresse skype de groupe que ma donné la gérante des lieux ne s’est pas enregistré… Pouvez vous la renvoyé pour la prochaine fois. La, je coupe, 12 heures de boulot demain.

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  2. Yop ! Me revoilà, ton chapitre est cool, encore une fois ça s’enchaine bien, c’est lisible mais il y a pas mal de fautes (d’inattentions). Petit problème de cohérence peut-être ? Les araignées (en générale) on huit yeux, il n’y a que quelques espèces qui ont 6 yeux, pour le bien du scénario on va dire que c’est ça ? XD En tout cas c’est plaisant à lire 🙂

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