Dungeon Defense – Volume 2 Chapitre 2 (Partie II)

Traducteur : JetonS

Adapt : ———
Check : ———


Hey Désolééééé du retard, j’ai été occupé avec ces périodes de fêtes, je rattraperai mon retard un jour, contentez vous de cela pour l’instant (encore désolé)


 

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Ce Novel est traduit par JetonS de l’équipe Soreyawari & Co. Si vous lisez sur un site autre que Soreyawari.com, c’est que le Novel a été volé. Ne soutenez pas les voleurs, lisez sur le site original.


▯ Plus Faible Seigneur Démon, Rang 71, Dantalian

Calendrier Impérial : Année 1505, Mois 9, Jour 10

Royaume de Sardinie, Marché aux Esclaves de Pavia


Ce Novel est traduit par JetonS de l’équipe Soreyawari & Co. Si vous lisez sur un site autre que Soreyawari.com, c’est que le Novel a été volé. Ne soutenez pas les voleurs, lisez sur le site original.

Mmh, fastoche.

J’allongeai le jeune homme sur le sol et souris ironiquement.

« Tu ne devrais pas faire confiance aussi facilement à une personne comme moi, mon ami. »

J’avais conquis sans effort ce jeunot qui semblait avoir 19 ans. Je n’avais fait que le complimenter modérément, mais il s’était excité tout seul et s’était jeté sur l’appât. C’était tellement facile que ça en devenait ridicule. Devait-on remettre mon succès sur mon talent, ou sur la naïveté de ce marchand…… ?

Bien sûr, la réponse était sur mon talent.

Je ne le savais que trop bien.

La modestie n’était qu’une étiquette sociale à laquelle j’adhérais selon mes humeurs.

Pour vous le prouver, ses points d’affection avaient grimpé en flèche.

Nous n’avions passé que deux heures à boire ensemble, mais ses points d’affection avaient dépassé les 10, surpassé les 20, et avaient atteint les 30. Et pourtant, ceux de Lapis Lazuli restaient bloqué à 10. Pourquoi étais-je plus populaire auprès des hommes qu’auprès des femmes ? Ce devait être la fin du monde.

« Statut. »

Une fois que je murmurai ces mots, un hologramme apparut devant moi.

Une fenêtre de statut qui n’apparaissait qu’une fois les points d’affection supérieurs à 20.

.

Nom : Giacomo Petrarch
Race : Humain
Profession : Marchand (E)
Réputation : Ancien Ecolier Raté

Charisme : F / Pouvoir : F / Intelligence : E
Politiques : F / Charme : C / Technique : F

Affection : 32

Etat Mental Immédiat : ‘Ami……’

.

Quelle nature adorable.

En un certain sens, plutôt qu’une femme au tempérament de Lapis Lazuli, dont les intentions m’échappaient, ces personnes étaient bien plus complaisantes.

Le genre de personnes qui faisaient de leur mieux pour respecter les autres, malgré leur simplicité d’esprit et leur légère naïveté.

La plupart des gens les qualifieraient de simplets.

Mais pas pour ma part.

A vrai dire, je les enviais légèrement.

……Parce que, je ne pourrais jamais devenir comme eux.

« Considère que tu as rencontré la mauvaise personne. »

Je cherchai dans le manteau de Giacomo jusqu’à mettre mes mains sur un trousseau de clé.

Les clés tintèrent avec un son métallique lorsque je les pris dans mes mains. La clé à la cellule de Laura de Farnese se trouvait probablement parmi ces clés.

C’est mal de voler ? Bien entendu. Je suis une mauvaise personne, voler est dans ma nature.

J’ai vendu au diable ma culpabilité il y a longtemps.

Au cours de ma vie, j’avais réalisé que la nécessité de ces sentiments était plus que discutable.

Peut-être qu’un masochiste, qui aimais souffrir, pourrait en avoir besoin. Mais de par ma nature sensible de sadiste, je n’en avais pas besoin.

« Mmmm…… »

Giacomo Petrarch murmura dans son sommeil.

Puisque j’avais mélangé de fortes doses de somnifères dans sa bière, il devrait dormir encore un petit moment.

Je caressai la tête de Giacomo.

« Dors bien. Laura de Farnese est trop importante pour qu’une personne aussi bienveillante que toi s’en occupe. Tout ce que tu as à faire, c’est de faire de beaux rêves et de la laisser entre mes mains. »

« …… »

« Ce sera bénéfique pour Laura de Farnese, pour toi, et pour moi. Tu n’as rien fait de mal. »

Je me demande s’il m’avait entendu dans son sommeil.

Le visage de Giacomo Petrarch se relaxa.

De profondes respirations coulaient de ses lèvres.

Bien.

Le doux enfant avait fermé les yeux.

Il était l’heure pour les rôdeurs et les spectres de faire leur apparition pendant la nuit.

Tenant les clés dans ma main, je m’avançai. Ma destination était visible. Entre deux wagons de bois se trouvait une cage.

Les lueurs de la lune emplirent la scène.

Les barreaux de fer baignaient sous les lueurs de la lune, mais ne brillaient pas. La scène ne se faisait que plus lugubre, comme si la cage repoussaient tous les objets, même la lumière.

Un seul élément reflétait la lumière. Ce n’était pas la cage, mais la fille piégée à l’intérieur.

La fille portait des habits crasseux qui siéraient bien à un clochard. Sa dernière douche remontait sûrement à des jours, de la saleté était éparpillée ici et là.

Ce fut alors que la lune qui se cachait timidement derrière les nuages montra de nouveau le bout de son nez. Les lueurs s’abattirent sur la peau de la fille, ce qui ne la rendit que plus singulière.

« …… »

Je retins inintentionnellement mon souffle.

Qui que ce fût, ils auraient tous été captivés par sa beauté.

Toutefois, la raison pour laquelle j’avais retenu mon souffle un instant n’était à cause de sa beauté. Une autre entité m’avait rendu visite.

– Cette fille lisait un livre.

Au milieu de cette cage morne qui semblait s’étendre à l’infini.

N’utilisant que la lumière de la lune.

Avec un épais livre étalé sur le sol devant elle, elle tournait les pages avec une main boursouflée.

Cette vue était à en couper le souffle.

Si je devais m’exprimer en mots, il n’y avait absolument rien qui pouvait se mettre en travers de son chemin.

C’était la première fois que je la rencontrais, mais je compris immédiatement tout.

La disgrâce et la honte d’être déchue d’une noble en une esclave. Les innombrables fois où les gens l’avaient battue et insultée. Le désespoir et la tristesse de se voir abandonnée par ses parents. Les diverses émotions n’avaient plus de valeur à ses yeux.

Elle avait déjà atteint le summum de l’humanité.

Clôturée.

Dans les ténèbres.

« …… »

Je m’approchai de la cage avec de lourds pas.

Malgré mes efforts pour faire résonner mes pas, la fille ne leva pas la tête.

Elle fixait le sol sans aucune once d’émotion.

Etait-elle tellement absorbée par le livre qu’elle n’entendait plus les bruits alentours ?

Je me mis entre la lune et la fille.

Une ombre sombre se tissa autour d’elle. Pour la première fois, la fille leva la tête pour me regarder dans les yeux, avec des yeux dénués de lumière.

Laura de Farnese.

L’humaine qui s’était opposée au héros pour mettre le continent à feu et à sang.

A la fille, abandonnée par sa famille et le monde, je parlai.

« – Mon nom est Dantalian, le Seigneur Démon au rang 71. »

Sans prétention.

Les ruses n’avaient aucun effet contre les gens possédant ces yeux.

Toujours droit et honnête, c’était la meilleure méthode de persuasion dans ces cas.

« …… »

« Je suis riche. Je pourrais t’acheter aux enchères n’importe quand. Mes sorcières et mes troupes militaires encerclent la place du marché, te prendre de force serait aussi envisageable. »

Ce n’était pas un mensonge.

A cet instant, Lapis Lazuli se préparait probablement aux périphéries du marché pour un éventuel assaut. Les Sœurs Berberes étaient avec elle. Mes forces étaient sur le qui-vive.

11 sorcières d’élite, et 9 soldats d’élite.

Les défenses de ce marché étaient relativement solides, mais n’étaient malheureusement constituées que de 70 gardes. Avec la puissance de tir des sorcières, nous pourrions facilement carboniser ces terres. Enlever Laura de Farnese et disparaître était un jeu d’enfant.

Si je leur en donnais l’ordre, tout serait tellement plus simple.

Malgré tout.

« Mais je veux que tu me suives de ton propre gré. »

Ces méthodes ne seraient envisageables qu’en dernier recourt.

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« Non pas avec la richesse ou la force. Purement en tant qu’humain, je veux que tu me suives. Juge-moi avec tes yeux incertains. Décide si je possède ou non le calibre pour t’élever. Evalue-moi. »

« …… »

« Peux-tu me laisser l’opportunité de te passer ton test ? »

Le silence régna entre nous.

La petite fille me regarda avec des yeux vacants.

Nous n’évitions pas le regard de l’autre. Jusqu’à ce que le troisième nuage recouvrit la lune, le temps s’écoula paisiblement.

La petite fille sépara enfin ses lèvres.

« – Cessez de bloquer les lueurs de la lune et écartez-vous. »

Une voix inorganique.

Telle une machine qui essayait tant bien que mal d’imiter une voix humaine.

Quand bien même, j’hochai de la tête.

Dans cet endroit, cette petite fille régnait sur son royaume. Le livre était tout ce qu’elle avait. Bloquer la lumière était équivalent à envahir son royaume. Je me conformai à la requête de Mademoiselle Farnese et m’écartai sur le côté.

Mademoiselle Farnese hocha de la tête.

« Je vous en suis reconnaissante. Vous êtes une bonne personne. »

« Respecter le domaine de quelqu’un est naturel. Si tu choisis de devenir ma vassale, je te respecterai de la même manière qu’à l’instant. »

« Vassale ? »

Mademoiselle Farnese inclina sa tête.

« Pas esclave sexuelle, mais une vassale ? »

« Parfaitement. Si je voulais que tu sois mon esclave, je t’aurais acheté avec de l’or ou je t’aurais arrachée de force. Mais j’ai jugé que la richesse et le pouvoir étaient inutiles pour te persuader. Laura de Farnese. Je te veux. »

« Si c’était une confession d’amour, cette jeune dame aurait été émue. »

Mademoiselle Farnese plaça sa main sur sa joue.

Par ailleurs, Laura de Farnese avait parlé en 4 langages différents. Sardinien, Hasburgien, Franconien, et Ancient Hélasien. Ce n’était pas une conversation banale. Elle me mettait à l’épreuve pour voir si j’arrivais à la suivre.

J’avais facilement passé son test fondamental. En matière de langage, je ne pouvais pas être battu. J’étais confiant pour dire que c’était ma spécialité.

A partir de maintenant, c’était le plat principal.

« Je suis reconnaissante pour votre offre. L’autre destin qui attend cette jeune dame est probablement que je serai vendue à un riche noble et vivrai une vie d’exutoire pour les désirs sexuels. »

« Aah. Correct. »

Grâce aux informations obtenues dans <Dungeon Attack>, j’avais une vague idée du destin de Laura de Farnese. Passons en revue les grandes étapes de sa vie.

« La personne qui t’achètera sera le Comte Roswell du Royaume de Brittany. Publiquement, il est connu pour être un homme avec une noble personnalité, mais en réalité, c’est un pervers sadique. »

« Ouh. »

Avais-je attisé sa curiosité ? Mademoiselle Farnese répondit avec intérêt. Bien que, ses yeux restaient gourds.

« Dites m’en plus. »

« Avec plaisir. Le Comte Roswell aime enfermer les nobles déchus, tels que toi, dans sa chambre de torture souterraine pour le loisir. Ses préférences sont vastes, il va de la torture à la cire de bougie jusqu’à l’amputation. »

« Amputation ? Qu’est-ce ? »

« Il existe de nombreux pervers dans ce monde, Mademoiselle de Farnese. »

Souris-je gentiment.

« Parmi eux, certains en tirent de la satisfaction charnelle pour les femmes qui n’ont plus de bras ni de jambes. »

Quant à moi, j’en tirais de la satisfaction lorsque je révélais la cruelle réalité à une fille qui était ignorante au monde. Je contribuais à l’éducation des enfants.

J’étais un homme aimable.

« Si tu es vendue au Comte Roswell, il ne fait aucun doute que tu seras violée par un groupe de personnes dans une prison souterraine où même la lumière du soleil ne pourra pas atteindre, pendant 10 ans. Si tu es malchanceuse, tu devras même avorter plusieurs fois. »

« Il est le pire maître qui soit pour un esclave. La torture à la cire de bougie passe encore, mais cette jeune dame ne pense pas qu’elle supportera d’avoir les bras tranchés. »

« Est-ce parce que tu ne seras plus en mesure de lire des livres ? »

« Oui. Je ne serai plus en mesure de lire des livres sans mes bras. »

Mademoiselle Farnese répondit sérieusement.

J’avais deviné qu’elle était ce genre de fille.

« Mais, oh Seigneur Démon. Il m’est dur d’avaler le fait que vous n’avez pas l’intention d’utiliser cette jeune dame pour autre chose qu’une esclave sexuelle. Comme vous le voyez, cette jeune dame est d’une beauté sans pareille. Même si vous m’acceptiez pour vassale, comment cette jeune dame pourrait-elle être certaine que vous ne seriez pas captivée plus tard par son apparence et que vous ne la violeriez pas ? »

C’était une petite gamine qui débitait des bêtises à longueur de journée.

Légèrement pris par surprise, je fronçai les sourcils.

« ……Tu. Est-ce qu’on t’a déjà dit que tu es très condescendante ? »

« Pardonnez-moi. Je ne fais que juger ma beauté avec objectivité. Durant ma jeunesse, 4 fois de mon propre père, 11 fois de mes demi-frères, et 2 fois de mes demi-sœurs, cette jeune a failli être violée par eux. La beauté de cette dame sort de l’ordinaire. Quel malheur. »

« Quoi ? Tu as presque été violée par tes demi-sœurs ? »

Même les Seigneurs Démons étaient surpris par ce fait.

Mademoiselle Farnese déclara séchement.

« Il existe de nombreux pervers dans ce monde, oh Seigneur Démon. Parmi eux, certaines femmes sont attirées par les personnes du même sexe qu’elles. D’autant plus que certaines femmes ont des désirs incestueux pour les membres de leur famille. »

Son intonation et ses mots avaient la même cadence que les phrases prononcées plus tôt. Elle me contre-attaquait en utilisant mes propres mots parce que j’avais essayé de me comporter comme un adulte.

J’admirais l’audace de cette jeune fille.

« ……Impressionnante. »

« Vous n’avez pas à complimenter cette jeune dame, cette jeune dame sait qu’elle est un génie depuis ses 6 ans. »

 « Oh, vraiment ? Quelle coïncidence. L’époque où j’ai réalisé que j’étais un prodige était aussi à l’âge de 6 ans. »

« Mmh, tiens donc ? Cette jeune dame se voit obliger d’ajouter qu’elle est consciente de sa supériorité cérébrale depuis qu’elle a vu ses jeunes frères et sœurs se démener pour maîtriser un simple théorème géométrique même après leurs 10 ans. »

« Quant à moi, j’en ai pris conscience au moment où j’ai vu que mes demi-frères et sœurs ne maitrisaient pas au moins 2 langages différents à l’âge de 5 ans. »

« Précisément. Un mystère incompréhensible. »

« Dès lors que cette jeune dame voit un groupe d’individus méditer sur une vérité élémentaire, cette dame ne ressent que pitié pour eux. D’un côté, cette jeune dame est sceptique, comment ont-ils réussi à vivre aussi longtemps avec une tête pareille ? Si cette jeune dame était à leur place, elle se serait suicidée immédiatement. »

« La majorité des gens sont nés incompétents. C’est dans leur nature. C’est notre devoir, à nous, de leur enseigner ce que sont l’intelligence et l’étiquette. »

« Oh Seigneur Démon. N’est-ce pas une tâche fastidieuse ? »

« Incroyablement fastidieuse. Toutefois, malgré toutes les gênes qu’ils peuvent occasionner, nous faisons parti de la communauté résidente de ce monde. Très occasionnellement, nous devons savoir nous sacrifier pour la bonne cause. »

« Par ‘très occasionnellement,’ vous voulez dire une fois dans une vie ? »

« Si ce n’est que très occasionnellement, alors – »

Ah !

J’avais été involontairement absorbé par la conversation.

Le rôle que j’avais endossé s’était évanoui à un certain moment.

Le courant passait à merveille entre cette fille et moi.

« Oh, d’ailleurs. Cette jeune dame refuse occasionnellement de parler et entre dans sa petite bulle pendant une semaine entière. Si nous devons passer du temps ensemble, veuillez noter cette habitude. »

« Ah, quelques fois, je me recroqueville sur mon lit et je refuse de sortir pendant 4 jours. A ces occasions, j’espère que vous respecterez ma vie personnelle. »

« Bien entendu. Sinon, cette jeune dame a tendance à jouer du violon très bruyamment. A de rares occasions, cette jeune dame sera emportée par son élan d’enthousiasme et commencera à chanter. Si vous devez vivre avec cette jeune dame, veuillez vous préparer à ces cas. »

« Les violons sont des plaisirs de la vie. »

Hochai-je la tête en toute sincérité.

« Oh, vous pensez ? »

« La mélodie d’un clavecin est trop rigide, le son qui en sort a un petit air mécanique. Mais les violons, eux, expriment les intenses vibrations de la vie. La musique est faite de vibrations, et rien que de vibrations. Un hautbois est aussi sublime, mais si on comparait les deux, le violon serait le vainqueur incontestable. »

« Cette jeune dame ne peut qu’être d’accord. »

« …… »

« …… »

Nous nous fixâmes l’un l’autre.

J’ouvris soigneusement ma bouche.

« Dis. Je ne sais pas si je me méprends, mais…… »

« Mmh ? »

« Je ne sais pas pourquoi, mais je sens que toi et moi nous entendons à merveille. »

« Quelle coïncidence singulière. Cette jeune dame partage la même opinion. »

« Ça peut paraître abrupte, mais j’ai quelques questions. Qui est la personne la plus intelligente du monde ? »

La jeune fille répondit promptement.

« Bien entendu, ce sont les individus, eux-mêmes. »

« Que penses-tu de ceux qui font des promesses irresponsables et qui méprisent les autres ? »

« Je ne vois pas de châtiment plus approprié que de leur couper les bras et de les condamner à mort. »

« Quand tu vois une personne naïve, quelles sont les premières pensées qui te traversent l’esprit ? »

« Comment peuvent-ils vivre une vie aussi niaise, mais en même temps, cette jeune dame est aveuglée par leur pureté et ne peut s’empêcher d’admettre qu’ils sont une race supérieure à celle dont appartient cette jeune dame. »

« Qu’est-ce que l’amour ? »

« Un acte insensé sous le masque de la romance. »

« Qu’est-ce que l’amitié ? »

« L’émotion que cette jeune dame accorde aveuglement à ceux qui ne la dérangent pas. »

« Qu’est-ce que le travail ? »

« Une preuve que Dieu n’existe pas dans ce monde, et une calomnie qui devrait être éradiquée. »

« …… »

« …… »

La jeune fille et moi hochâmes la tête au même moment.

Nous étions sur la même longueur d’onde.

« Mademoiselle de Farnese. Je déteste les corps d’enfant. Je ne suis attiré que par les femmes aux seins bien développés. Heureusement, les chances pour que je sois captivé par toi sont incroyablement faibles. »

« Oh Seigneur Démon. Cette jeune dame préfère les hommes aux âges mûrs, au moins 50, mais si possible 60 ans. Cette jeune dame déteste les hommes sans rides. Le charme d’un homme ne provient que de ses années d’expérience, les chances pour que cette jeune dame soit séduite par vous sont très minces. »

Nous tendîmes nos bras et saisîmes la main de l’autre fermement.

« – Parfait. »

« – Splendide. »

Cette communion avait longtemps dépassé le stade de compatible.

J’étais sa moitié, et elle était ma moitié. Nous étions nés sur la même planète, mais à cause des caprices de Dieu, nous avions été séparés. Jusqu’à ce que finalement, nous nous réunissions aujourd’hui. Il y avait une différence d’âge entre nous, mais ce n’était pas un souci. Un compagnon qui partageait la même idéologie transcendait les générations et les âges. La décalcomanie de mon âme que je n’avais pas retrouvé dans mon ancien monde était juste devant mes yeux.

Un effet sonore retentit et une fenêtre de notification apparut.

.

[Vous avez abouti à une communion sincère avec votre partenaire.]

[Les points d’affection de Laura de Farnese augmentent de 15.]

.

En un seul coup, les points d’affection avaient dépassé les 10.

Il m’avait pris plus de 150 jours pour hausser l’affection de Lapis Lazuli au-delà de 10, mais il ne m’avait pris que 15 minutes dans le cas de Laura de Farnese. Quelle était cette différence entre les deux ?

Je vois.

Lapis Lazuli était un cas particulier.

J’utilisai la clé pour ouvrir la cage alors que je baignais dans la satisfaction de ma propre réussite.

D’un clack, la porte de la cage s’ouvrit. Après avoir démantelé le collier en métal autour du coup de Mademoiselle Farnese, tous les problèmes avaient été magnifiquement résolus.

« Mmmh. Quel bonheur. »

Mademoiselle Farnese marcha hors de la cage. Elle tendit ses bras vers la lune dans le ciel étoilé. On avait l’impression qu’elle essayait de voir combien d’étoiles elle pouvait prendre dans ses bras.

Et le temps s’écoula dans ce silence pendant un long moment.

Puis peu après, de Farnese tourna son corps vers moi.

« – Monseigneur. »

Elle se mit à genou.

Ce Novel est traduit par JetonS de l’équipe Soreyawari & Co. Si vous lisez sur un site autre que Soreyawari.com, c’est que le Novel a été volé. Ne soutenez pas les voleurs, lisez sur le site original.


Je n’ai pas de check, donc si jamais vous remarquez des fautes d’orthographes, n’hésitez pas à me le signaler dans l’espace commentaire ! Merci !

Si vous appréciez la traduction, ou que vous voulez lire quelques chapitres en avance, n’hésitez pas à aller faire un tour sur mon Patreon !


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25 commentaires sur “Dungeon Defense – Volume 2 Chapitre 2 (Partie II)

    1. Salut à toi ! Je ne traduis pas ces romans donc je cite la reponse que j’ai eu apres ma demande sur le groupe des traducteurs. « Le trad de Réincarné en oeuf de dragon souffre de ce qu’on appelle « Trouble chronique de la persévérence motivationnelle », de ce fait, il traduit les chapitres à son bon vouloir. Le trad de EGA, lui, a subit l’événement X et a ainsi disparu de la circulation. Il vit à présent dans un monde différent qui est hors d’atteinte du notre, explorant et écrivant ses expériences, mais on peut pas les récupérer, il faut attendre qu’un nouveau portail s’ouvre :/ » – SamiHunter

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    1. elle ne le tien pas, il est posé au sol^^.

      « Cette fille lisait un livre.

      Au milieu de cette cage morne qui semblait s’étendre à l’infini.

      N’utilisant que la lumière de la lune.

      Avec un épais livre étalé sur le sol devant elle, elle tournait les pages avec une main boursoufflée. »

      au passage boursoufflée n’a qu’un f^^.

      Aimé par 1 personne

    1. En soi, non. Si tu vois une meilleure formulation pour certaines phrases, tu es libre de me le faire remarquer, mais la tâche principale d’un check est de vérifier les fautes d’orthographe et de conjugaison.

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  1. n’étant pas des plus douer en français je n’ai relever qu’un type d’erreur surtout, les accents, c’est stupide mais bon… (je bloque toujours dessus…) désoler d’avance pour ce relever non pertinent…

    l’heure pour les rodeurs
    manque un ^ sur le o.

    Sa dernière douche remontait surement
    un ^ sur le u.

    Enlever Laura de Farnese et disparaitre
    un ^ sur le i

    Il est le pire maitre qui
    un ^ sur le i.

    se démener pour maitriser
    un ^ sur le premier i.

    Ça peut paraitre abrupte
    un ^ sur le i.

    mes demi-frères et sœurs ne maitrisaient
    un ^ sur le premier i

    Mademoiselle Farnese déclara séchement.
    ce n’est pas é mais è.

    D’un clack, la porte
    claque pour la porte mais si je me trompe désoler.

    Quand tu vois une personne naives
    un ¨ sur le i et si je ne me trompe pas naïve sans s puisque c’est une donc singulier, mais si je me trompe désoler. (je ne me souvient plus si ce mot est invariable ou non…).

    J’y est mi 2 erreurs qui ne sont pas des accents mais je ne suis évidemment pas sur à 100% si j’ai ou nono raison.

    Désoler à nouveau pour ce petit commentaire inutile.
    (si ce commentaire est bien dénuer de sens, possible de le supprimer? merci d’avance.)

    Aimé par 1 personne

    1. Oh non, ce n’est certainement pas dénué de sens, j’apprécie tout type de commentaire qui m’aide à m’améliorer dans ma traduction. Merci des corrections, j’effectuerai les changements sur le chapitre dès que possible.

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    1. Bonne année à vous aussi les lecteurs ! Je promet que je vous revaudrai les chapitres en retard un jour ou l’autre ! (Le temps que je me refasse un petit stock de chapitres)

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