Dungeon Defense – Volume 2 Chapitre 3 (Partie II)

Traducteur : JetonS
Adapt : ———
Check : ———


Geh. Un revenant. Bah alors JetonS, on ne donne plus de nouvelles après des mois et on revient sans prévenir ? PAS TRES PROFESSIONNEL TOUT CA ! Eh bien figurez-vous que je n’ai aucune excuse. J’assume entièrement ma fainéantise… Et oui, un travail bénévole (donc non rémunéré) qui prend facilement 5h de travail acharné par semaine, ce n’est pas de tout repos. Pour tout vous dire, j’ai eu une grosse baisse de motivation. Mais je me suis dit que ce n’était pas très cool de laisser mes lecteurs en suspens en plein milieu du roman. Donc je reviens, en espérant que je ne vous quitte pas de sitôt (attention, je ne fais aucune promesse par contre _(:3」∠)_ )


 

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Ce Novel est traduit par JetonS de l’équipe Soreyawari & Co. Si vous lisez sur un site autre que Soreyawari.com, c’est que le Novel a été volé. Ne soutenez pas les voleurs, lisez sur le site original.

10 minutes depuis le son de la corne.

Mon adjudant parla d’une expression troublée.

« ……Général. Les ennemis ne répliquent pas ? »

« Mmmh. »

Mon visage n’était pas bien différent de celui de mon adjudant. Honnêtement, j’étais confus.

En ce moment, notre cavalerie légère tirait du haut d’une colline. Armée d’arbalètes, ils faisaient pleuvoir les flèches sur les troupes ennemies.

Le sang des forces ennemies se vidaient peu à peu, et pourtant, il n’y avait aucune réaction. Que se passait-il ?

« Ils ont peut-être un plan en tête…… ? »

« Leurs intentions sont inconnues. »

Je fronçai les sourcils.

« S’ils continuent, les pertes ne feront que s’aggraver. »

« Il n’y a aucun mouvement, mon général. Ils reçoivent peut-être moins de dommages que nous ne le croyons ? »

« Non. Les chances pour que vos présomptions soient vérifiées sont très faibles. »

Bien sûr, la portée et la puissance des arbalètes utilisées par nos cavaleries étaient plus faibles que celles utilisées par nos infanteries. Mais c’était néanmoins des arbalètes. Les arbalètes reposaient toujours sur le principe d’absorber l’énergie magique des environs pour tirer un coup puissant. Ce n’était pas une arme à prendre à la légère. C’était supposé se passer ainsi, mais……

« Général, et si c’était une embuscade ? »

« Sur cette colline à ciel ouvert ? Aucune forêt aux alentours. S’ils veulent cacher des troupes, où pourraient-elles se trouver ? »

« …… »

Mon adjudant ferma la bouche. Son expression découragée était visible.

Je n’avais aucune envie de le réprimander. Mon adjudant savait parfaitement qu’il n’y avait aucune embuscade. Il n’arrivait simplement pas à comprendre le comportement des troupes ennemies, et ne faisait que suggérer des scénarios possibles.

« Mais, ils semblaient être une unité d’élites. Ils sont sous le feu des tirs depuis 10 minutes, mais il n’y a encore aucun semblant de mouvement. Général, ce n’est pas un groupe de soldats rassemblés à l’arrache. »

« ……Ce qui ne rend leurs actions que plus suspectes. »

« ……Vous dites vrai. »

Les forces ennemies recevaient sans broncher une pluie de flèches, mais leur position était adamantine.

Les troupes s’élevaient à moins de 200. Peu importe combien d’arbalètes ils avaient, ils ne pourraient pas en opérer plus de 100.

De notre côté, nous avions 400 sentinelles. 400 soldats qui tiraient à tour de rôle. Un déferlement de flèches s’abattait constamment. Ils n’étaient même pas dignes d’être appelés des adversaires. Une bagarre entre un adulte et un enfant serait plus vigoureux que ce spectacle.

Malgré tout, leur infanterie maintenait les rangs. Ils gardaient leur menton relevé, comme si la mort de leurs camarades, percés par des flèches, n’était qu’une trivialité. Leur courage relevait du défi.

« Normalement, je les complimenterais pour leur discipline militaire inflexible…… »

« ……C’est triste. Quelle est la différence entre eux et de la chair à canon ? »

« Oui. Ce spectacle est affligeant. »

Mon adjudant me rejoignit dans mon opinion.

Nous regardâmes le champ de bataille en silence.

Finalement, après 20 minutes de bataille, mon adjudant ne put contenir sa colère qu’il réprimait depuis longtemps.

« Je ne comprends pas ! »

Son visage était rouge de colère.

Il se plaignait probablement de l’incompétence du commandant ennemi.

« Que fait leur commandant ?! Les soldats meurent. Réagissez, participez à la bataille, faites quelque chose ! Ou au moins, capitulez…… ! »

Au final.

30 minutes après le son de la corne, les forces ennemies furent vaincues.

Incapables de résister aux blessures plus longtemps, les rangs se déformèrent. Le mur de fer se brisa.

« ……Donnez l’ordre de charger. »

« ……Oui, mon général. »

Le général qui donnait l’ordre était aussi fatigué que l’adjudant qui le recevait. Mais les seuls déprimés par cette victoire étaient nous. Nos troupes célébraient enthousiasment notre victoire facile.

Bouuuuuuuuh-

Le son de la corne retentit.

Recevant le signal, nos troupes sortirent les épées de leur fourreau et se dépêchèrent vers les rangs ennemis qui étaient en déroute.

Et la bataille se termina.

Incapable de résister à notre charge, les soldats ennemis s’effondrèrent. Les nains battirent en retraite à droite et à gauche. A cause de la séquence d’événement évidente qui avait causé un résultat évident, la force qui soutenait mes épaules me quitta……

« Général. Devrions-nous ordonner une poursuite des ennemis en déroute ? »

« Faites-le…… Je ne comprends rien à cette bataille. »

Les soldats ennemis, incapables de courir plus loin, furent rattrapés par nos forces. Des cris perçants commencèrent à résonner sur ces collines. Mon adjudant fronça les sourcils. La scène était horrifique……

« C’était une bataille ? »

« J’aimerais vous poser la même question. »

Trop de mystères insolubles résidaient dans ce monde.

Ce Novel est traduit par JetonS de l’équipe Soreyawari & Co. Si vous lisez sur un site autre que Soreyawari.com, c’est que le Novel a été volé. Ne soutenez pas les voleurs, lisez sur le site original.


▯ Plus Faible Seigneur Démon, Rang 71, Dantalian

Calendrier Impérial : Année 1505, Mois 9, Jour 16

Alentour du Château du Seigneur Démon Dantalian


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« – Je vois, je réalise à présent. »

Les yeux de Laura de Farnese scintillèrent.

« L’infanterie perd contre la cavalerie ! »

« Pourquoi réalises-tu l’évidence ?! »

M’époumonai-je de toutes mes forces.

Fumant de rage, j’écrabouillai la couronne de cette dame.

« Ah-, ah-. C’est fragile, seigneur. Je suis fragile. »

« Quelle était cette bataille ? Pourquoi n’avons-nous pas répliqué ?! »

« Hoah-. C’est pourquoi cette jeune dame vous a suggéré de ne pas laisser les troupes aux mains de cette jeune dame…… »

Mademoiselle Farnese s’effondra en miettes sous mes bras.

Même pour un novice dans l’art de la guerre, cette bataille était désastreuse. Il n’y avait pas de mots pour décrire la monstruosité du résultat. Nous avions perdu un régiment de 150 fantassins en un clignement d’œil, sans infliger aucune perte en retour.

« Satané disgrâce. Je retire ma précédente déclaration. Nous ne faisons pas partis de la même catégorie de personnes. Tu n’es pas non plus ma petite sœur. Tu n’es rien de plus qu’une boule anti-stress. »

« Quelle est la différence entre cela et une esclave sexuelle, seigneur…… ? »

« Au moins, les esclaves sexuelles sont là pour satisfaire nos pulsions sexuelles, sauf que toi, tu ne satisfais rien du tout. C’est là toute la différence. Tu es inutile. »

« Cette jeune dame vient de tomber plus bas qu’une esclave sexuelle…… »

Mademoiselle Farnese grincha.

Dans cette dernière bataille, les rescapés s’énuméraient à moins de 20. Nous avions donc perdu 9/10 des troupes que nous avions déployées.

Avec Mademoiselle Farnese, nous étions assis misérablement sur un balai à regarder la déchéance de nos troupes. J’avais l’impression de regarder un film de série B.

« Mmh. C’est entièrement de la faute de votre seigneurie. »

« Redis-le pour voir ? »

« Cette jeune dame n’a fait que lire des manuels de guerre, c’est évident que cette jeune dame manque d’expérience sur un champ de bataille. Dans l’un des manuels de guerre que cette jeune dame a lu, il y est écrit que de l’infanterie est suffisante pour s’occuper de cavalerie légère. Cette jeune dame devait s’assurer de la véridicité du livre. »

Elle était plutôt éhontée pour quelqu’un qui avait mené la pire bataille de l’histoire.

Je fixai Mademoiselle Farnese avec de gros yeux.

« Alors ? Ta véritable intention ? »

« – Puisqu’elle pensait perdre cette première bataille, cette jeune dame a jeté en pâture 150 soldats pour qu’ils meurent. »

« Je vais remodeler cette mentalité de perdant que tu as. »

Presse presse presse.

« Ah, ah, ah – Je suis pétrie, seigneur – Hoah. Cette jeune dame est pétrie…… »

« Mets-y de l’enthousiasme. Tu comprends ? La victoire est une demoiselle. Elle ne sourit qu’aux plus braves des combattants. La victoire ne daignera pas jeter un regard à des idiots qui sont blottis dans leur coin. »

« Les plus braves combattants, dites-vous…… ? »

Mademoiselle Farnese me dévisagea.

Je la regardai droit dans les yeux.

« Oui. Sois téméraire. »

« Téméraire…… »

« Tellement audacieuse que tu te demanderas si ce que tu fais est vraiment la bonne approche. »

« Audacieuse…… »

Je me demande si je l’avais convaincue.

Laura de Farnese médita un moment avant de hocher de la tête. C’était un mouvement discret et subtil, mais il y avait de la détermination. Puisque c’était moi, un expert en psychologie, qui le disais, il n’y avait aucun doute à avoir.

« Compris. Les ordres de votre altesse seront exécutés. Cette jeune dame a peut-être été un peu défaitiste. Mais c’était la première fois de cette jeune dame, en terrain hostile, cette jeune dame devait se montrer prudente. »

« Mmh. »

« En vérité, cette première fois était un test pour contempler les privilèges accordés à celle-ci. Lorsqu’un enfant tombe, personne ne les blâme. Cette jeune dame a beau être la meilleure tacticienne de ce monde, cette jeune dame n’est qu’une débutante. Il n’y a aucune raison de détruire la fierté de celle-ci. »

« Mmh…… »

« C’est pourquoi, cette jeune dame prendra en compte les conseils de votre excellence pour forger sa personnalité. Cette jeune dame surprendra les ennemis, soyez en sûr. Sur l’honneur de cette jeune dame, Laura de Farnese, je ne décevrai plus votre excellence. »

« Je sens de la fausse modestie et de l’excès de confiance dans ce discours… Mais passons. C’est l’esprit qu’il faut avoir, Laura de Farnese ! Je t’ai dit que les soldats étaient à ta disposition. Je suis responsable des pertes, tandis que tu récoltes la gloire de la victoire. Ainsi, cette bataille ne pourra qu’être lucrative pour toi. »

« A vos ordres. Mon seigneur. »

Mademoiselle Farnese saisit une poupée en cire.

« Voici la sincérité de cette jeune dame. »

D’un ‘boom’, elle plaça la poupée en cire au milieu de la carte.

Ce Novel est traduit par JetonS de l’équipe Soreyawari & Co. Si vous lisez sur un site autre que Soreyawari.com, c’est que le Novel a été volé. Ne soutenez pas les voleurs, lisez sur le site original.


▯ Le Gardien Nordique, Margrave de Rosenberg, Georg von Rosenberg

Calendrier Impérial : Année 1505, Mois 9, Jour 16

Alentours du Château du Seigneur Démon Dantalian


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« Général. Régiment ennemi en vue. »

« Quoi ? »

Je fronçai les sourcils suite au rapport de mon adjudant.

A la suite de la victoire incompréhensible de ce matin – soit dit en passant, c’était la première fois de ma vie que j’obtenais une ‘victoire incompréhensible’ plutôt qu’ ’une défaite incompréhensible’ – nos troupes avaient regagné leurs rangs et avaient repris leur marche.

En temps normal, mes soldats auraient eu besoin de se reposer après une bataille. La fatigue subite par le personnel militaire sur un champ de bataille était inimaginable. C’était une évidence.

Cependant, cette fois-ci, je n’avais pas le luxe de leur offrir ce repos. La raison était simple. La voix de la raison me murmurait à l’oreille que ‘ce’ n’était pas une bataille. Et puisqu’il n’y avait eu aucune bataille, il n’y avait pas besoin de se reposer. Il n’y avait aucune faille dans ma logique.
Mais des ennemis nous barraient de nouveau la route ? De quoi parlait-il ?

« Faites-moi un rapport précis de la situation, adjudant. »

« Oui. Nous estimons les ennemis au nombre de 150, comme la dernière fois. Ils semblent être en formation de combat sur le haut d’une colline relativement élevée. »

« ……Pourquoi cette unité n’était-elle pas avec les troupes que nous avons ‘rencontrées’ ce matin ? »

« Mes excuses, mais je n’en ai pas non plus la moindre idée. »

Il serait difficile d’obtenir une réponse concrète à la vue de la confusion partagée de mon adjudant.

 Avec la cavalerie à mes trousses, je me fiai un chemin vers la ligne de front. Et sans grande surprise, une unité ennemie nous attendait devant. Des drapeaux d’affiliation inconnue s’agitaient de nouveau.

Cependant, il existait une différence fondamentale avec les troupes que nous avions affrontées ce matin.

« Adjudant. Ne me dites pas que…… »

« ……Oui. Général. Si mes yeux ne me jouent pas des tours, il semblerait que… »

Mon adjudant murmura.

« Cette compagnie, n’est composée que d’arbalétriers. »

« …… »

Ma vision se brouilla.

Quelle troupe outrageuse.

C’était la première fois de ma vie que je voyais une telle composition d’armée.

Comme la logique le voulait, une infanterie était composée de lanciers et d’arbalétriers. Cette logique ne sortait pas de nulle part, il y avait une part de rationalité.

Les lanciers utilisaient leurs lances pour tenir les troupes ennemies éloignées des rangs. Au moment voulu, ils gardaient leurs armes étendues pour empêcher la cavalerie d’avancer.

Quant à la ‘rencontre’ de ce matin – Oui, je compte réutiliser ce terme à l’usure – mes hommes n’avaient pas chargé tête baissée. Les lanciers ennemis avaient formé des rangs sans laisser paraitre aucune faille. Nous avions donc adopté une autre approche, nous avions tiré des flèches au loin pour ouvrir une brèche dans les rangs, brèche que nous avions par la suite exploitée.

Mon adjudant se prononça aigrement.

« Toutefois, il semblerait qu’ils aient installé des pointes en bois autour de leur position…… »

« Hmm. »

Les forces ennemies étaient entourées de pointes de bois à la manière d’une barrière, comme s’ils essayaient de compenser la faiblesse apparente de leur unité. Certainement, ces pointes gêneraient l’approche de notre cavalerie, mais les dégâts causés par les pointes seraient bien inférieurs aux plaies causées par perforation des lances. Il serait strictement impossible de bloquer notre cavalerie avec de si maigres contre-mesures.

« Adjudant. Est-ce, par tout hasard, une stratégie populaire sur les récents champs de bataille ? Je prends de l’âge, j’ai peut-être été délaissé par les rouages de la guerre. »

« Mes excuses, général. Si une telle coutume voguait, l’empire aurait uni le continent depuis bien longtemps. Et je n’aurais pas perdu mon travail pour me retrouver au chômage. »

« Alors…… est-ce une nouvelle stratégie saugrenue ? »

« Vous mâchez vos mots, général. De mon point de vue, je pense que c’est de la folie. »

J’étais ravi de savoir que mon adjudant et moi étions sur la même longueur d’onde……

A cet instant, mon adjudant eut une révélation. Il ouvrit grand les yeux et s’écria.

« Général. L’ennemi est peut-être forcé d’adopter une telle stratégie ! »

« Forcé, dites-vous ? »

« Oui. Cela peut sembler être de vulgaires spéculations, mais ces soldats faisaient surement route vers les troupes que nous avons rencontrées ce matin. Ces deux unités n’étaient sensées en former qu’une seule, cependant leur rassemblement a été retardé, et nous les avons déroutées avant qu’ils ne puissent fusionner ! »

« Hm…… »

Mon esprit s’éclaira. C’était plausible.

« Je vois. Il en est ainsi…… expliquant ainsi la non-réaction des troupes de ce matin. Ils attendaient l’arrivée des renforts. »

« Tout à fait, général. Nous sommes arrivés avant. Ils ne s’attendaient probablement pas à ce que nous avancions aussi rapidement. Ils n’ont pas prédit notre avancée. »

« Vous avez raison. »

Enfin, tout s’éclairait dans mon esprit.

La ‘rencontre’ de ce matin ne faisait pas parti de leurs prévisions. Ils se sont faits massacrés avant que les deux forces ne puissent s’unir, expliquant cette défaite saugrenue et ridicule.

Ce matin, les troupes ennemies ne semblaient pas pourvu d’un commandant. Ils attendaient avec impatience l’arrivée de leur commandant et des renforts. Mais contre toute espérance, leur commandant n’arriva pas à temps et leur unité se fit annihilée……

« Nous devons remercier votre perspicacité, général ! Si nous avions de l’infanterie lourde et de la cavalerie lourde, notre marche aurait été retardée. Nous serions arrivés au champ de bataille après l’unification des troupes ennemies. »

« Mmh, ce n’est que de la chance. »

« On dit que si le coup du sort frappe deux fois, alors c’est le destin. Il ne fait aucun doute que les Déesses veille sur vous, général. Ooh, la grâce de la Déesse Athéna brille sur nous ! »

Mon adjudant s’exclama et s’excita.

Les expériences difficiles du champ de bataille avaient appris la foi aux soldats. Savoir que les Déesses veillaient sur eux leur donnait du courage. Mon adjudant, conscient de ce fait, s’écriait enthousiasment.

« La Déesse Athéna a donné à notre seigneur, Rosenberg, sa protection divine ! »

« Quel est le souci ? »

A la mention de la Déesse, les autres officiers se rassemblèrent.

Une fois que mon adjudant leur expliqua énergétiquement la situation, ils exprimèrent à leur tour la même joie.

« Félicitation, votre excellence ! »

« Il est clair que les Déesses désirent éloigner la Faucheuse Noire des terres de votre excellence ! »

Les autres officiers me félicitèrent comme s’ils avaient déjà gagné la guerre.

D’une voix froide, je secouai la tête.

« Silence, il est trop tôt pour célébrer notre victoire quand l’ennemi n’est pas encore vaincu. Le banquet nous sera permis qu’à notre retour triomphant. »

Je jubilais intérieurement, mais je n’osais pas le montrer.

La bataille n’était pas terminée. Le combat n’était pas fini tant que nous n’avions pas vaincu l’ennemi et que nous n’étions pas de retour chez nous. L’excès de confiance était un défaut fatal.

« Retournez tous dans vos rangs rassembler vos troupes ! Soyez sur le qui-vive jusqu’au son de la corne. »

« Oui, général ! »

Les officiers répondirent avec entrain. Ils avaient parfaitement compris mes intentions. Leurs compétences étaient à la hauteur de leur salaire, je ne les employais pas pour rien.

« Adjudant. Donnez l’ordre à la cavalerie de donner l’assaut. Apprenez à ces fous que des barrières ne font pas le poids contre nos chevaux, massacrez-les. »

« Je transmets vos ordres. Nous battrons ces enfoirés de nains jusqu’à ce que leur postérieur soit rouge. »

Au son de la corne, notre cavalerie s’élança.

Une portion de nos cavaliers tomba sous la volée des ennemis, mais aucun dégât conséquent ne fut infligé.

Nos troupes évitèrent avec aise les pointes de bois et bafouèrent les troupes ennemies.

‘C’est la fin.’

Un sentiment euphorique me saisit l’esprit.

Après cette bataille, le Seigneur Démon Dantalian était définitivement vaincu.

Il n’y avait plus aucun obstacle pour entraver notre avance.

Marchons d’un pas léger.

Ce Novel est traduit par JetonS de l’équipe Soreyawari & Co. Si vous lisez sur un site autre que Soreyawari.com, c’est que le Novel a été volé. Ne soutenez pas les voleurs, lisez sur le site original.


Je n’ai pas de check, donc si jamais vous remarquez des fautes d’orthographes, n’hésitez pas à me le signaler dans l’espace commentaire ! Merci !

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10 commentaires sur “Dungeon Defense – Volume 2 Chapitre 3 (Partie II)

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