Dungeon Defense – Volume 3 Chapitre 2 (Partie I)

Traducteur : JetonS

Adapt : ———
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Salut à tous ! Au final, 42 minutes dans une vie, c’est quoi ? Pour un être humain qui vit jusque 60 ans, ça représente 42 / 31 536 000 de sa vie, soit 0.0000012% de sa vie. Dites-vous que mon retard représente 0.0000012% de votre vie, ce n’est donc pas si dramatique, non?


 

ddillus


Chapitre 2 – Hiver


Ce Novel est traduit par JetonS de l’équipe Soreyawari & Co. Si vous lisez sur un site autre que Soreyawari.com, c’est que le Novel a été volé. Ne soutenez pas les voleurs, lisez sur le site original.

« Appelle-moi père. »

« Vous allez bien, mon Seigneur ? »

J’organisai mon armée pendant l’hiver.

Le tempérament des soldats était féroce et indomptable. Ils n’acceptaient pas les ordres d’une générale de 16 ans. Lorsque je les foudroyais du regard, ils obéissaient à l’ordre, mais cette obéissance était temporaire. A l’ombre de mes yeux, le personnel militaire critiquait Mademoiselle Farnese. Grâce aux familiers des sorcières, nous avions un enregistrement parfait des paroles qui circulaient derrière notre dos.

« Ecoute bien. »

J’avais enregistré ces conversations dans une Archive de Mémoire pour que Farnese les écoute. Les soldats avaient surnommé Mademoiselle Farnese la ‘prostituée humaine.’

.

– Nous sommes des démons, pourquoi cette prostituée humaine rampe à nos côtés et nous donne des ordres ? Quelle est cette merde ?

– Une merde fraiche. Voilà ce que c’est.

– L’apparence de cette jeune générale est ravissante.

– Qui part en guerre pour observer la beauté des ennemis ? Nous enfonçons des couteaux à la gorge de nos opposants, nous ne jouons pas à la dinette. Elle croit tout savoir sous prétexte qu’elle a lu quelques manuels de guerre. Qui la prend au sérieux, dites-moi.

– Qui sait ? Nous ne répéterons peut-être pas les mêmes mots lorsque nous la prendrons par les hanches et lorsque nous entendrons ses gémissements.

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Le personnel militaire s’esclaffa bruyamment. Certains se moquaient de Farnese tandis que d’autres les avertissaient de ne pas poser la main sur une femme appartenant à son altesse le Seigneur Démon. Toutefois, ces avertissements étaient à moitié des blagues et n’étaient pas à prendre au sérieux. Lorsqu’elle vit ce que je voulais qu’elle voie, j’éteignis l’artéfact.

« Qu’en penses-tu ? »

« Il semble que ces soldats jacassent témérairement sans rien savoir à propos de cette jeune dame. »

Murmura Farnese d’un visage inexpressif.

« Cette jeune dame n’a jamais partagé un lit avec votre seigneurie. C’est de la diffamation. »

« Hey. »

Ce n’était pas le souci.

Il y avait, comment dire ? Il y avait un problème légèrement plus important à soulever. De mon point de vue, je dirais que le personnel militaire n’a pas une once de respect pour toi.

Farnese entendit mon commentaire mais resta de marbre. Elle continua de lire tranquillement son livre d’histoire. Alors qu’elle tournait la page, Farnese murmura.

« Ce n’est pas forcément dans notre intérêt de résoudre ce problème de discipline. Ils n’acceptent pas les étrangers, et d’un autre point de vue, on peut aussi dire qu’ils sont soudés entre eux. S’ils dépendent mutuellement l’un de l’autre, ils ne s’enfuiront pas devant l’ennemi. Ce seront l’élites des soldats. »

« Et donc ? »

« Ce que cette jeune dame veut dire est que si elle tranche la gorge des centurions et des décurions, cette armée solide se désintégrera de l’intérieur et se transformera en une bande d’incompétents. Les capitaines qui ont maudit cette jeune dame périront, remplacés par de nouveaux soldats bons uniquement à la flatterie. Plutôt que privilégier des capitaines incompétents, cette jeune dame préfère donner leur chance aux capitaines qualifiés. L’armée est une masse corporelle unie ensemble par des joints et des muscles. Cette jeune dame ne veut pas remodeler l’apparence extérieur au détriment de la beauté intérieure. »

J’examinai soucieusement le teint de peau de Farnese.

Malgré les mots vulgaires crachés par ces satanés soldats, elle ne montrait aucun signe d’opposition. Elle contemplait et réfléchissait au moyen de discipliner les soldats, en les voyant non pas comme des êtres vivants, mais des outils.

Laura de Farnese était une psychopathe.

Néanmoins, cette psychopathe était intelligente.

« Puis-je te laisser t’occuper de ce problème ? »

« Votre altesse n’est-il pas venue chercher cette jeune dame au marché des esclaves pour régner sur les troupes ? Votre altesse peut partir le cœur léger. Cette jeune dame est votre générale. Ce problème concerne cette jeune dame et cette jeune dame y remédiera d’elle-même. »

Je savais que mes craintes étaient infondées.

Dans l’objectif de la mettre à l’épreuve, je la réprimandai.

« Tu crois que tu réussiras simplement parce que tu y crois ? »

« Les mots de votre altesse sont agressifs. Plutôt que de dompter cette jeune dame par la peur, veuillez accrocher un hameçon pour l’appâter. »

« Je te donne un mois. Après ces 30 prochains jours, je veux que la discipline au sein de nos troupes soit exemplaire. Si tu es incapable de prendre tes responsabilités pour les mots que tu as prononcés, je te fouetterai pour ta grande bouche. »

« Bien compris. »

Farnese ne quitta pas son livre des yeux. Je lui avais donné une tâche, et il était maintenant de mon devoir de la guider. Je la questionnai allusivement.

« Puis-je t’aider de quelques manières que ce soit ? »

« Veuillez donner le contrôle des familiers des sorcières à cette jeune dame. Les familiers serviront d’yeux et d’oreilles à cette jeune dame. Elle les utilisera pour scruter l’invisible et entendre l’inaudible. »

 « Requête acceptée. »

« Ah, et aussi – »

S’étendit Farnese.

« Votre altesse n’a-t-il pas dit qu’il voulait devenir le père de cette dame ? »

« Les soldats te méprisent parce que tu es la fille d’un humain. Je me suis dit que leur mépris devrait s’amoindrir si je t’adoptais. »

Farnese quitta son livre des yeux. Elle regarda finalement en ma direction, mais pour une raison quelconque, ses yeux étaient teintés de suspicions. On dirait presque qu’elle regardait de la pourriture.

« Quelle blague. Ces mots ne sont pas faux, mais la façon de faire de votre seigneurie est infâme. Dans ce monde, qui résoudrait une querelle militaire par une adoption ? Cette jeune dame le savait, mais elle se rend de nouveau compte de la démence de votre seigneurie. Vous êtes tout sauf normal. »

De quoi tu te mêles ?

Tu es une psychopathe !

Ce Novel est traduit par JetonS de l’équipe Soreyawari & Co. Si vous lisez sur un site autre que Soreyawari.com, c’est que le Novel a été volé. Ne soutenez pas les voleurs, lisez sur le site original.

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Farnese s’immergea au cœur de la vie militaire. Farnese étendit son lit aux côtés des soldats, dormit et mangea avec eux. La générale portait les mêmes habits que les soldats, possédait un seul ensemble de draps et de couverture, et mangeait dans un bol rustique. Elle avait l’intention de vivre aux côtés des troupes.

Les capitaines vinrent se plaindre auprès de moi.

.

– Nous sommes dérangés par l’arrivée soudaine de la générale dans nos quartiers.

– Depuis que la générale vit avec nous, même lorsque les cuisiniers versent notre portion de petit-déjeuner dans nos bols, nous jetons un regard à la générale. Et puisqu’on regarde la générale, nous mâchons la viande de notre soupe une fois de moins. Notre esprit est souvent préoccupé par la générale, et nous oublions souvent de mâcher. Par conséquent, nous n’avons pas l’énergie que nous devrions avoir après un repas et nous avons souvent des crampes d’estomac. Comme dit le proverbe, il ne faut pas déranger un clébard qui mange. Comment sommes-nous supposés nous battre alors que la générale interfère avec les repas de nos subordonnés ? Veuillez comprendre notre dilemme.

– Veuillez comprendre notre dilemme, votre altesse.

.

Je grattai mon front.

Je vois que ces bâtards immondes sont offusqués par un simple repas. Ils souillent mon nom. Puisque vous êtes aussi têtus qu’une chèvre, je me montrerai à la hauteur de votre faiblesse d’esprit. Voyons comment vous, cette bande d’enfoirés, réagirez face à la colère d’un comédien.

Je pris une profonde inspiration et débitai des mots telles des balles de mitrailleuse.

« Vous discutez de repas en présence du roi ? Qu’il en soit ainsi. Je vais vous dire d’où viennent vos repas. Toute la nourriture que vous ingérez par la bouche à chaque matin provient de ma générosité. Le diner que vous gobez et que vous rejetez par le cul, tout provient de moi. Quand vos épées se cassent, à qui demandez-vous de les réparer ? Qui va chercher les forgerons ? Qui se charge de trouver les chevaux et les wagons pour charger les armes et les envoyer à la forge, et qui donne la nourriture aux cochers pour qu’ils fassent l’aller-retour ? Je suis le gérant de la maison. Bande d’ingrats. Je vous dis que je suis votre monarque. Juste parce que vous êtes légèrement mal à l’aise par les deux coups de mâchoire en moins que vous donnez, vous venez vous plaindre auprès de moi ? »

J’attrapai un oreiller en bois que j’utilisais pour mes siestes et le jetai sur les capitaines. Une fois que l’oreiller frappa le sol et rebondit, un frisson parcourut le corps des capitaines qui enfoncèrent leur tête dans leur cou.

Ma manière de parler aux Seigneurs Démons différait du ton que je prenais pour parler aux capitaines militaires. J’évitais de les effrayer et je m’abstenais de prendre ce ton haut et condescendant pour discuter avec eux. Au lieu de cela, je m’étais rabaissé à leur niveau et j’avais cloué leurs pieds sur le sol en argumentant. C’était mon stratagème.

« Bande d’imbéciles heureux. »

.

– Vos mots sont incommensurables, votre altesse !

– Nous sommes fautifs, votre seigneurie !

– Nos pensées sont trop restreintes.

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« Bien. Je vois que vous vous excusez avec ferveur, je ne vous tourmenterai pas davantage. Laura de Farnese est la générale militaire qui agit en mon autorité. Elle est ma générale suprême. En mon absence, elle est votre monarque. La raison pour laquelle je ne vous punis pas en ce moment n’est pas que je vous ai pardonné, mais parce que votre punition sera décidée par votre générale. Une erreur des soldats doit être pardonnée par la le commandant. »

.

– Mais, votre altesse.

– Nous nous battons par la force des aliments ingérés. Si nous ne mangeons pas correctement, alors.

– Nous ne voulons pas vous ennuyer, mais.

.

Ces enfoirés ?

Je sortis mon épée de mon fourreau.

« Dois-je vous aider à digérer la nourriture coincée dans votre gorge à l’aide d’une épée ? »

Ce fut qu’alors que les capitaines s’enfuirent. Puisque leurs pas étaient mous, je leur courus après. Les capitaines furent surpris et s’écrièrent de terreur. Je ramassai l’oreiller en bois et leur jetai dessus, et puisque j’avais des talents de lanceur, l’oreiller en bois frappa en plein centre de l’arrière de la tête d’un des capitaines. Les capitaines prirent leurs jambes à leur cou sans se retourner. Et ce fut ainsi que je couvris Farnese.

J’avais la firme conviction que Laura de Farnese était destinée à devenir cette grande générale qui mettrait le continent à feu et à sang comme dans l’histoire originelle.

Comme je m’y attendais, 4 jours plus tard, Farnese comprit l’origine du problème de l’armée. Tout en portant son uniforme de soldat, Farnese vint m’informer.

« L’irrationnalité de nos troupes est incommensurable, mon seigneur. »

« Quelle genre d’irrationnalité ? »

« Qu’il y ait des commandants de régiment, des centurions, et des décurions, soit. Mais malgré leur rang, les commandants de régiment attribuent leurs devoirs aux centurions, les centurions délèguent leurs obligations aux décurions, et les décurions délaissent leurs corvées aux soldats. Et pour finir, les soldats font tout le sale boulot de l’armée. Même parmi les soldats, qui sont fatigués de ces tâches qui leur tombent dessus, ils se distinguent en plusieurs catégories plus ou moins hiérarchisées. Ceux qui se situent en bas de la hiérarchie nettoient et sèchent le linge de ceux en haut. »

« Un problème récurrent dans la plupart des armées. »

« Les soldats devraient agir en soldats et les centurions en centurions. Pourquoi donnent-ils le devoir qu’ils ont à faire aux autres et rendent leur vie inutilement compliquée ? Cette jeune dame, qui est la générale, devrait être la seule à attribuer des missions aux soldats. On dirait qu’ils servent plusieurs généraux en même temps. Il est impossible, à ce rythme, de discipliner ces soldats pour qu’ils forment une seule unité soudée. »

Je crachai sur le sol. Ma gorge était souvent sèche à cause du temps hivernal.

« Tu peux t’en charger ? »

« Cette jeune dame écrasera le problème dans l’œuf. »

Je préférais laisser l’irrationnalité telle qu’elle était et la manipuler pour servir mes intérêts. Mais il semblerait que Laura de Farnese soit l’exact opposé de moi. Elle préférait endurer cette irrationnalité et porter le poids des incohérences sur le dos. Je me demandais quelle méthode était la meilleure.

« Très bien. Je te laisse carte blanche. »

« Cette jeune dame performera en l’honneur de votre seigneurie. »

.

Farnese commença à prendre les affaires militaires au sérieux.

A partir de cet instant, que ce soit capitaine, vétéran, ou nouvelle recrue, qu’ils soient chevronnés ou novices, Farnese ordonna à tous de s’occuper soi-même des tâches ménagères au sein de l’armée. Farnese montra l’exemple en lavant elle-même son uniforme et en nettoyant elle-même ses bottes. Un jour, alors qu’un soldat lui apportait son repas, Farnese le réprimanda d’une lourde voix.

« Ramenez ce plateau-repas. J’ai des bras et une bouche. »

Farnese ne mangea pas ce jour-ci. Une fois que la commandante mit de côté le bol, les soldats se regardèrent d’un air perplexe. A partir de ce jour, plus aucun soldat ne ramena de repas aux vétérans.

Toutefois, ce n’était qu’une façade.

Elle avait dissipé la fumée mais n’avait pas éteint le feu.

Au cours de cette nuit ambitieuse, les vétérans rassemblèrent les soldats et abusèrent de leur autorité. A l’aide des familiers, nous entendions en temps-réel les violents bruits qui provenaient des campements.

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– Hey, creusez-vous un peu la cervelle bande de bâtards. Vous pensez que cette pute humaine va vivre dans nos quartiers pour toujours ? Cette salope partira d’ici deux semaines. Et une fois qu’elle sera partie, vous mourrez de mes propres mains.

– Réfléchissez bien à qui vous gagez votre loyauté les gars. Cette pute humaine fait partie du monde de son altesse et non pas du notre. Je vais vous donner un conseil utile, restez discrets.

– Oui, mon capitaine !

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Les mots différaient d’une zone à l’autre mais le répertoire lexical était le même.

Lorsque je tendis l’oreille vers l’audio, j’eus un sentiment nostalgique. Farnese marmonna entre ses lèvres.

« …… Je vois, ils me défient pour voir qui sortira vainqueur de ce combat. »

Oh ?

Ce n’était peut-être que mon imagination, mais son visage avait l’air colérique. Et puisque l’apparence d’une quelconque émotion sur le visage de Farnese était rare, ce phénomène m’intrigua.

Depuis ce jour, Farnese amorça des patrouilles de nuit.

Elle ne patrouillait pas au hasard, elle feignit la coïncidence dès qu’elle en eut l’occasion. Par exemple, la fois où elle prétendit aller aux toilettes au beau milieu de la nuit et qu’elle observa une scène de violence près des entrepôts, ou la fois où elle fut réveillée par une présence et qu’elle examina l’arrière des quartiers résidentiels. Tout était calculé. Bien sûr, plus c’était gros, plus les chances de réussir étaient élevées. Pour les soldats, l’apparence inattendue de la commandante était une source de terreur.

« Que faites-vous ? »

Les officiers haut-gradés qui tourmentaient les soldats furent pris la main dans les poches.

D’un visage inexpressif, Farnese annonça.

« Je vois. Vous pensez que ceux qui ne dorment pas la nuit se battent vaillamment sur les champs de bataille. Je suis soulagée de voir que le lien qui vous unit est aussi dur que la pierre. Messieurs les officiers, suivez-moi. »

Farnese punit les officiers à des travaux physiques. Elle leur donna à chacun une pioche et leur ordonna de creuser. Le sol avait été solidifié par le froid, et le bout des pioches avaient du mal à percer le sol. Lorsqu’ils virent d’eux-mêmes la solidité du sol, ils allumèrent un feu pour faire fondre le sol. Une fois le feu allumé, ils creusèrent jusqu’à ce qu’une petite colline se forma près des casernes. Farnese regarda les soldats et émit un autre ordre.

« Bien joué. Maintenant, rebouchez-le. »

Les officiers remplirent le trou, qu’ils avaient creusé en vain, avec de la terre. La séquence d’action leur avait coûté 4 heures. Le sol fut de nouveau plat et sans excavation. Les officiers essuyèrent la sueur sur leur front en pensant que leur punition était enfin terminée, malheureusement Farnese en décida autrement.

« Creusez de nouveau. »

Les visages des officiers virèrent au bleu. Pendant une demi-journée, les soldats creusèrent et remplirent des trous. Ce travail n’avait ni but, ni raison. Et puisqu’il n’y avait pas de but, la fin leur semblait infiniment lointain, et puisque la fin leur semblait infiniment lointain, ils furent très rapidement à bout de nerfs. Il avait l’impression de creuser leur propre tombe. Je regardai Farnese tourmenter joyeusement les officiers au loin avec mes mains derrière mon dos. Ce sentiment me procurait une sorte de réconfort.

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– Tuez-moi.

– Nous, humbles officiers, avons commis une erreur, générale !

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Les officiers s’accroupirent et baissèrent leur tête sur le sol. C’était probablement la première fois que les soldats appelaient Farnese ‘générale.’ Farnese, d’un visage aussi transparent que l’eau, contempla l’expression des soldats.

« Pourquoi vous tuerais-je ? Personne ne vous chérit plus que moi. Arrêtez de parler et creusez. »

Farnese leva le coin des lèvres. Elle n’était pas habituée à exprimer ses émotions. La bouche de Farnese se tordit malicieusement. Ce spectacle était absolument terrifiant.

« Ou préférerez-vous le trou qui se trouve entre mes jambes ? Vous pensez que vous me satisferez avec les bites molles que vous avez ? »

Les soldats se lamentèrent sur leur sort.

Après ce jour.

La demoiselle fut promue en rang, elle passa de prostituée à satanée prostituée.

Par le passé, les voix beuglaient ‘cette prostituée !’ d’un ton ridicule et aigue. Dorénavant, les voix marmonnaient ‘cette satanée prostituée ……’ d’un ton vexé et dénué d’énergie. Les voix aigues furent remplacées par des voix graves et fatiguées.

Quelle merveilleuse nouvelle, vraiment sensationnelle.

Les capitaines envahirent mes quartiers une nouvelle fois. A la différence de la dernière fois, leur intonation était intense. De la précipitation se mêla à leur voix aigüe. Tous les capitaines se référèrent à Farnese par le titre de Mademoiselle la Générale. Ce n’était qu’un simple ajout du mot ‘Mademoiselle’ au mot ‘Générale,’ mais ce changement avait son importance. Le nouveau titre de Farnese était une paraphrase pour ‘cette satanée salope.’ Le degré de haine qu’avait atteint Farnese était digne de louanges.

Ce Novel est traduit par JetonS de l’équipe Soreyawari & Co. Si vous lisez sur un site autre que Soreyawari.com, c’est que le Novel a été volé. Ne soutenez pas les voleurs, lisez sur le site original.


Je n’ai pas de check, donc si jamais vous remarquez des fautes d’orthographes, n’hésitez pas à me le signaler dans l’espace commentaire ! Merci !

Si vous appréciez la traduction, ou que vous voulez lire quelques chapitres en avance, n’hésitez pas à aller faire un tour sur mon Patreon !


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9 commentaires sur “Dungeon Defense – Volume 3 Chapitre 2 (Partie I)

    1. C’est un des points forts de l’auteur, il change très souvent son style de narration, et ça mène bien souvent à des scènes comiques dans un univers pourtant relativement sombre.

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