Memento Mori, chapitre 3 : Rire Réparateur

Auteur : Andecarus
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Voilà le troisième chapitre n’hésitez pas à donner votre avis et bonne lecture à vous !


 

Haiden rouvrit les yeux en sursaut pendant un petit moment de flottement il ne comprit pas où il se trouvait, il regarda de chaque côté afin de se calmer et de vérifier qu’il se trouvait bien dans la réalité.

Ce n’est qu’au moment où il vit Rose et son sourire moqueur qu’il fut rassuré sur sa localisation, il était bel et bien à la fac avec ses amis.

Rose qui le regardait toujours avec son sourire lui dit en chuchotant afin que lui seul puisse l’entendre « Alors la belle aux bois dormants se réveille enfin. Tu sais que j’étais prête à te donner le baiser magique pour te réveiller »

Il ne sut quoi répondre étant encore désorienté par ce rêve qui était encore une fois bien étrange et douloureux, de plus, chose qui le surprenait d’autant plus, c’était qu’il allait dans la continuité du premier.

Après quelques secondes il se força à répondre avec un sourire tout aussi ironique et sur le même ton que son amie

« Tu sais quand même qu’à la base, c’est un prince charmant qui doit faire ça ? Et désolé de te décevoir mais tu es loin d’en être un »

Rose rigola discrètement tout en disant

« Connard va ! »

De là, les deux se regardèrent tout en rigolant de bon cœur. Guillaume, qui était juste à côté d’elle, les regarda et commença lui aussi à rire tout en leur chuchotant

« Vous êtes vraiment trop cons tous les deux » Il avait l’habitude de les voir tous les deux faire des blague comme ça, c’était leur petit jeu de se lancer des pics.

Après quelques minutes et un regard réprobateur de la part du professeur qui dispensait le cours, les trois amis reprirent leur calme et écoutèrent attentivement la suite qui concernait toujours l’iconographie des différentes bibles et de ces enluminures qui dataient du moyen-âge.

Elle abordait également, en parallèle de ça, l’histoire de la religion et les différents faits qui étaient en rapport avec les images.

Tout en précisant bien que cela serait très important pour les partiels et qu’ils feraient bien de faire attention à prendre de bonnes prises de notes au cas où le sujet tomberait en fin de semestre.

Mais Haiden lui, malgré le fou rire qu’il venait de partager avec ses amis, avait beaucoup de mal à se concentrer sur ce qu’elle disait. Il restait encore une fois obnubilé et perturbé par ce rêve.

Dans sa tête, la seule chose qui restait et qui tournait en boucle était des questions sur ces deux rêves.

Si il n’y avait eu qu’un seul rêve étrange il aurait fini par se faire une raison et ranger celui-ci dans la case étrange.

Mais là, c’était le deuxième, si réaliste qu’il se souvenait encore de la douleur comme si c’était lui qui l’avait directement vécue.

Comme si cet homme imaginaire le hantait avec sa propre histoire comme moyen de communication.

Afin d’oublier ses inquiétudes et pour se changer les idées, il tenta de se plonger dans le cours.

Car bien qu’il avait cru un moment avoir dormi assez longtemps, il se rendit compte qu’il n’avait pas somnolé tant que ça et sur les 2 heures il lui restait encore 30 minutes à faire.

Pour ces dernières minutes, il écouta le cours et prit en note plutôt sérieusement ce qui lui permit d’oublier les idées qui le torturait et qui allait le rendre totalement fou s’il continuait de les retourner dans sa tête.

Ce guerrier fut, pour un petit temps bienvenu, sorti de son esprit.

Le reste de la journée se déroula normalement comme tous les jours entre 12h30 et 13h30 il était parti manger avec ses amis.

Là, il avait pu discuter tranquillement et rigoler encore une fois il ne pensait plus à ruminer ses idées noires.

Ensuite il reprit les cours jusqu’à 15h30 pour son cours d’antique qui parla des poteries et des peintures qu’elles arboraient et des différentes façons dont elles étaient utilisées à cette époque.

Par la suite il reprit sa voiture et rentra chez lui sans faire de détour. Une fois arrivé, il prit une bonne heure pour relire ses cours et les remettre en ordre mais surtout pour les compléter grâce aux réseaux sociaux.

Une fois fini, il se permit quelques heures de détente devant la télé à regarder divers programmes plus ou moins intelligents. Il zappait de chaîne en chaîne passant d’émissions de reportage ou de télé réalité à de vieilles séries totalement vieillottes.

Ce jour là il tomba sur un documentaire qui attira son attention la présentatrice, toujours un sourire aux lèvres, présentait un nouveau dossier nommé « la Corée du nord étend son influence et ses réseaux aux pauvres pays: mythe ou réalité? » selon la voix off et les images, la Corée du nord serait en pleine extension de son influence dans différents pays pauvres et sous développés.

Encore selon ce même reportage, elle offrirait des armes dans ces pays à travers différents réseaux plus ou moins cachés et qu’elle serait en plein démarchage pour inciter ces pays à se rebeller contre « la dictature du riche » dans leur pays.

Le documentaire ne s’arrêtait pas là et sous entendait que ce ne serait pas la seule dictature qui ferait ce genre de chose.

De plus il sous-entendait également que les États-Unis et l’Europe surveillaient de près cette affaire et que, selon le déroulement de cette dernière, ils seraient bien aptes à envoyer différentes troupes afin de mettre fin à leurs actions qui pourraient aboutir s’ils ne faisaient rien à une guerre totale et complètement incontrôlable chose qu’ils souhaitaient éviter à tout prix.

Haiden fut surpris par ces nouvelles alarmantes mais ne fit pas plus cas de tout ça étant donné qu’il savait pertinemment que ce style de documentaire adorait en rajouter un peu afin de pouvoirs faire des sujets chocs et accrocheurs, afin d’avoir une meilleure audience.

De plus si vraiment la situation était aussi alarmante et véridique que ce qu’ils racontaient, il pensait très sincèrement que les médias ou au moins les réseaux sociaux auraient relayé bien plus l’information et que ce n’était pas un simple documentaire diffusé vers 17h30 qui serait le seul à l’exposer publiquement.

Le soir quand sa mère rentra du travaille il discuta tranquillement de tout mais surtout du documentaire qu’il avait vu quelques heures plus tôt et qui, malgré le fait qu’il n’avait pas trop pris au sérieux cette histoire, il voulait tout de même se rassurer en parlant avec sa mère de tout ça.

Ce qui la fit plutôt rire et elle prit ça avec beaucoup de dérision et de second degré elle non plus ne pensait pas que tout cela était vrai ou en tous cas beaucoup trop exagéré.

Cette nuit là il se coucha plus tôt car la fatigue était bien présente.

Mais avant de dormir il eut des sentiments contradictoires, d’un coter une peur viscérale de refaire un rêve aussi douloureux, mais d’un autre un désir incontrôlable, une curiosité mal placée qui lui donnait une envie farouche de voir plus de la vie de cet étrange guerrier malgré que tout ça, il le savait, n’était que le fruit de son imagination fertile et débordante.

***

Haiden était légèrement soulagé de ne pas avoir vu son sommeil perturbé par un rêve étrange.

Mais d’un autre côté, il était un peu déçu car faire ces rêves, même s’ils étaient perturbants, ils restaient quelque chose d’intrigant qui lui permettait d’avoir un peu de changement dans sa vie.

Si il devait relever un point positif à cette absence c’était qu’il avait pu se lever à l’heure et profiter d’un petit-déjeuner avec sa mère dans le salon.

Chose d’autant plus rare que sa mère deux jours de suite s’était elle-même levée à l’heure ce qui lui permettait a elle aussi d’avoir du temps.

Il profita de cette occasion pour partager ses deux expériences traumatisantes.

Elle prit ces révélations avec beaucoup de légèreté et s’amusa à l’embêter sur ce qu’il venait de lui confier.

Haiden sut qu’il allait entendre des blagues sur ces révélations pendant plusieurs semaines, il se maudissait déjà de ne pas avoir pu tenir sa langue lui qui voulait en parler à ses deux amis de toujours; il fut un peu refroidi pas cette réaction et se demanda s’il n’allait pas garder pour lui les questions qu’il se posait.

Car après tout lui-même se disait que ça restait tout de même ridicule de s’inquiéter pour des rêves qui, malgré leur réalisme et les émotions ressenties, restaient de simples songes qui n’ont aucune réalité ou impact réel.

Suite à ça il prit le chemin habituel et une fois arrivé à sa faculté, il put restait quelques minutes assis tranquillement avec ses amis.

Le défilé incessant des étudiants courants ou simplement en pleine discussion animée, hypnotisa haiden, ce qui lui fit perdre le fil de la conversation et le fit repenser à son questionnement premier malgré qu’il souhaitait de tout son cœur se convaincre que ce rêve n’était qu’une divagation de son cerveau il n’y arrivait pas et il finissait toujours par y repenser.

Au bout d’un petit moment, il put voir une main passer dans son champ de vision c’était Guillaume qui attirait son attention et une fois reconnecté à la réalité il se rendit compte que ses deux amis le regardaient avec beaucoup d’inquiétude. Guillaume lui dit de sa voix rauque

«  Eh mec ça va ? Ca fait au moins 5 min que je tente d’attirer ton attention et tu réagis pas tu es vraiment flippant en ce moment tu sais ? »

Haiden ne réagit pas sur le coup il ne savait pas trop quoi répondre en effet ces rêves devenaient une obsession malsaine et dévorante à tel point qu’il se demandait s’il ne devenait pas complètement fou. Il réalisa aussi par la même occasion que ces rêves avaient bien plus d’impact que ce qu’il pensait.

Il comprit après quelques secondes qu’il avait laissé planer un silence et que ses deux amis le regardaient de plus en plus bizarrement comme on peut regarder une bête mystérieuse dans un zoo.

Un regard rempli de curiosité mais également d’un sentiment de peur cachée ou plutôt une inquiétude pour leur ami.

Pour les rassurer il imprima un sourire sur son visage et d’un ton léger il dit

« Vous comptez me regarder comme ça longtemps ? J’ai vraiment l’impression d’être un singe dans un zoo là »

Ses amis lui sourirent d’un sourire crispé rempli de la même inquiétude qui se cachait au fond de leurs regards et d’une voix douce Rose prit la parole

« Oui mais tu sais ça fait deux jours que tu es bizarre. tu nous cache quelque chose ou quoi? Déjà hier dans l’amphi tu as dormi quasiment la moitié du cours en plus c’était impossible de te réveiller j’ai rien dit mais j’ai pas arrêter de te donner des coups de coude pour que tu reprenne conscience mais ça n’a servi à rien et toute la journée tu pars dans tes pensées tu t’en rends peut-être pas compte mais c’est tout de même inquiétant »

Haiden lui répondit afin de la rassurer

« Non je vous cache rien je dors juste plutôt mal depuis deux jours donc je suis un peu à l’ouest en ce moment. Bon vous savez quoi ce soir on va boire un verre tous les trois et on va oublier toute ces histoires de narcolepsie ce que, je tiens à préciser, je ne suis pas  »

Sur cette idée qui fut approuvée à l’unanimité les compères se levèrent et partirent en direction de leur cours de la journée étant tous dans des options différentes ils prirent le chemin chacun de leur côté et se donnèrent rendez-vous le soir même à 20 h à un bar qu’ils avaient l’habitude de fréquenter.

À l’heure prévue, il se retrouva donc assis sur une chaise devant une bière blonde avec ses amis partant dans des discussions plus ou moins sérieuses l’une parlait d’un exposé que trois des filles de son TD avaient dû faire sur « la capitale des Petrucore dans l’antiquité » un exposé rempli d’ennui et de gêne car ces trois fameuses filles étaient plutôt timides et n’étaient pas de très bonnes oratrices alors qu’elle finissait son histoire, Guillaume lui rebondissait sur une de ses nombreuses histoires qui faisaient toujours autant rire ses amis.

Haiden passait une très bonne soirée toute idée noire mise de côté il rigolait et s’amusait comme avant comme si de rien n’était.

Il buvait comme la plupart des jeunes de son âge avec un peu trop de zèle ce que ses deux amis firent aussi par envie ou peut être par mimétisme même eux ne le savaient pas ou plutôt, ils ne se posaient pas vraiment la question dans l’euphorie du moment toutes les questions sans réelle importance étaient mises de côté.

Cette joie primaire donnée par les effets de l’alcool laissa la place à une envie irrésistible pour Haiden de se confier et de leur dire toute la vérité, donc au moment de partir ils furent tous vraiment ivres ce qui donnait une démarche peu assurée et titubante ce qui ne leur enlevait pas l’envie de rigoler comme des simplets au contraire cela alimentait leur fou rire mais comme toute personne alcoolisée tout et n’importe quoi pouvait les faire rire.

Mais donc une fois arrivés à leur voiture il eut enfin le courage ou la folie de parler de ce qui le tracasser, bien sûr dans l’état dans lequel ils étaient tous ses complaintes ne furent que très peu écoutées et ils finirent par en rigoler tous les trois malgré le brouillard alcoolisé dans lequel ils se trouvaenit.

En avoir rit fut un réconfort plus efficace que n’importe quelle complainte cela lui permit de dédramatiser le tout et d’oublier son inquiétude.

Il se rendit compte qu’il avait accompagné ses amis à leur voiture mais que la sienne était bien plus loin et qu’il devait marcher un peu pour la rejoindre avant de partir, il dit au-revoir à ses deux amis leur disant de faire attention sur la route, eux lui répondirent en cœur comme une réponse pré-enregistrée « La voiture connai la route toute façon » De là, Rose et Guillaume se regardèrent et rigolèrent de plus belle comme deux enfants. Haiden les accompagna aussi avec plaisir dans leur crise de rire.

Après un long moment à discuter et rigoler devant leur voiture ses deux amis prirent chacun la route.

Lui dut partir à pied, l’alcool le faisait se sentir invincible bien plus fort que d’habitude, il se sentait au dessus de toutes les inquiétude et des dangers possibles de la ville il n’avait peur de rien.

Le chemin vers sa voiture fut rapide ou en tous cas il ne vit pas le temps passer comme immunisé il avait atteint sa voiture en quelques minutes, l’avait ouverte et pris le volant en mains.

Il mit quelques minutes pour comprendre pourquoi la voiture ne bougeait pas l’alcool le rendait hypothétiquement invincible mais pas très réactif et intelligent.

Mais après s’être repris il alluma le moteur et prit la route comme d’habitude.

Elle était monotone et ne réservait pas beaucoup de surprise, à tel point qu’il devait lutter contre le sommeil.

Cette créature perfide attendant son heure patiemment et sournoisement en lançant des petites piques pour t’affaiblir petit à petit afin de pouvoir te mettre K.O à la fin.

Comme sur un ring Haiden se battait comme un beau diable pour ne pas céder mais c’était bien compliqué de ne pas succomber.

Haiden ferma les yeux quelques secondes afin de les reposer juste le temps d’enlever cette gêne qu’il ressentait et ce brouillard qui obstruait sa vue.

***

Ce fut un réveil brutal comme tant d’autres encore des rêves qui le tourmentait et pourtant il pensait les avoir oubliés, avoir tiré un trait dessus, avoir surpassé cette inquiétude, cette peur, mais ce réveil lui prouvait le contraire.

Mais après avoir fait ce constat , cette peur mise en exergue il ne pensa plus qu’à une chose ou plutôt à une seule question « que s’était-il passé suite à sa perte de conscience ?» il ne savait rien de ce qui avait bien pu lui arrivait suite à son passage par l’inconscience.

Pourtant il n’avait pas bougé, quelques minutes après son réveil il entendit la porte s’ouvrir sur une jeune femme avec un plateau rempli d’onguents et de bandages, de mixtures étranges et autre matériel de soin.

Le guerrier n’eut pas le courage de se relever ou de dire quoi que ce soit de toute façon se disait-il son épée était hors de portée et il ne pourrait se défendre qu’au dernier moment à courte distance et à main nues.

Il pensait malgré son état affaibli pouvoir la neutraliser, donc si cette femme était là pour l’achever il attendrait le dernier moment pour se défendre, jusqu’à ce moment il économiserait ses force afin de se défendre si besoin.

Une fois rentrée la femme s’approcha du guerrier sans hésiter elle n’affichait aucune émotion particulière, ni détermination farouche, ni pitié, ce qui perturba le guerrier qui ne sut ce qu’elle venait vraiment faire ici.

Les matériaux de soin pouvaient bien être une excuse pour se rapprocher de lui afin de le tuer en toute discrétion, il ne pouvait le savoir réellement.

Une fois arrivée auprès de son lit elle posa son plateau sur la petite table de chevet près du guerrier, afin de se libérer les mains et pouvoir commencer son travail.

Dans son fatras d’objet et de fiole elle sortit une petite dague recourbée, qu’elle prit sans hésiter une seule minute, puis avec des gestes remplis de la lassitude de l’habitude elle approcha la lame de sa chemise et la coupa net.

Dans sa fatigue le guerrier pensa que ça devenait une habitude de lui enlever ses vêtements à coups de dague, mais surtout il se demanda qui avait bien put lui remettre une nouvelle chemise suite au sort qu’on avait réservé à la précédente.

Jusque-là il avait fait le mort attendant de comprendre les intentions de cette femme elle ne perdait pas des yeux ces mains fines et agiles qui parcouraient son torse ou plutôt la cicatrice qui lui barrait le corps par une boursouflure preuve de son calvaire et de sa victoire sur la mort.

Le guerrier remarqua en même temps que les runes qu’on avait gravés sur son torse n’avaient laissé aucune trace pas plus que les pierres qui avaient été insérées en lui.

Après avoir vérifier la cicatrice elle sortit un onguent qu’elle appliqua à même la peau, le guerrier ne put empêcher son corps de réagir au contact froid et dérangeant de la mixture étrange qu’elle appliquait elle s’en rendit compte immédiatement et releva la tête, de là elle vit les yeux du guerrier la fixaient et par réflexe et par surprise elle poussa un hurlement.

Le guerrier fut surpris par ce cri et énervé il voulut la faire taire pour épargner son crâne encore douloureux et en réunissant ses dernières forces il hurla un ordre dans une voix caverneuse qu’il ne reconnut pas lui-même.

« Mais tu vas te taire »

Elle ne l’écoutait pas et continuer à crier comme une démente le guerrier entendait des armures claquer non loin de sa porte il était épuisé et cette femme continuait ne l’écoutant pas.

Alors la colère prit le dessus et de là il sentit une force obscure remonter de son torse et s’infuser en lui et lui apporter les forces qui lui manquaient et cette fois d’une voix cassante et dure il put crier.

«  J’ai dit stop ! »

Sur ces mots, la femme fut repoussée et heurta le mur en face de lui ce qui la fit taire immédiatement, elle s’était évanouie emportant avec elle les bruits.

Le guerrier ne fut pas long à la rejoindre épuisé par les dernières forces qu’il avait utilisé, forces qu’il ne lui appartenait pas qu’il avait empruntait à une puissance malsaine qu’il ne maîtrisait pas encore.

 

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