Alezander’s Extended Universe, Issue #29 (ACTE 3)

Auteur : TheLordGio
Check: Miss X



TheLordGio“Yo ! Un nouvelle ACTE dans ALEZANDER c’est toujours un évènement (pour moi surtout haha). Mes principales inspirations pour l’aventure qui va débuter sont : MGS V, X FILES, YUYU HAKUSHO, MIB, SUN KEN ROCK… + Pas mal de surprises ^^
Cet ACTE sera assez spécial, j’espère que ça vous plaira…

Merci à Miss X pour le check, qui sans elle le petit monde des Light Novel serait remplie de fautes répugnantes et rampante comme les Ombres dans PN (et comme dans cette Note d’auteur par exemple.)

Bonne lecture…”

 


  “A mes yeux, l’identité est une façon de
se gagner un passeport pour le monde.”
¤  Marcello Fois

  J’étais là, dans mon bureau comme tous les jours que dieu fait. Assis sur mon fauteuil, et les pieds sur mon putain de bureau. Il y avait très peu de lumière; seuls les stores laissaient passer quelques rayons de soleil. Une odeur de tabac recouvrait toutes la pièce.

Hier, j’avais passé une putain de mauvaise soirée, je devais pister une gonzesse qui trompait son mec. J’avais fini la soirée tabassé par une bande de voyous.

  “Quel Merde !” J’ai un putain de cocard.

Donc j’étais là dans mon bureau comme tous les jours que dieu fait. Une mouche volait dans toute la pièce. Elle faisait un vacarme pas possible. Il était dix-sept putain d’heures, je devrais me boire un bon whisky.

Je me dirigeais vers mon mini bar. Il ne restait pas grand chose, quelques cacahuètes et le fond d’une bouteille du whisky. Je sortis mon verre.

Quand soudain, quelqu’un toqua à la porte.

Un putain de client à cette heure-ci, fantastique. J’en suis ravi.

  “Entrez !!!” dis-je la clope au bec.

La porte s’ouvrit. Un homme blond, en smoking vert pâle, avec une chemise blanche et un foulard bleu entra, il tenait une vieille valise marron. Bordel de merde, vu son accoutrement c’est sûrement un type plein au as. Ou un putain de taré d’Hollywood.

  Qu’est-ce qu’il va me demander encore ? Suivre sa maîtresse ? Sa femme ? Ou son putain de jardinier qui se tape les deux ?

“Bonjour…!” Me lança l’homme en smoking. Il avait un putain d’accent français. Encore un riche étranger qui vient piquer tout notre blé.

“J’aurais besoin de vos services… Monsieur ?”

“Jonathan… Jonathan Smith…”

On se serre la main.

“Asseyez-vous” lui balançais-je en pointant le siège près du bureau

“Merci !”

Je me mis de l’autre côté du bureau et j’en profitais pour déposer ma clope dans le cendrier. Je lui tendis une cigarette. Heureusement il refusa.

“Je vous écoute…?!”

“Je… J’ai… Comment dire ? Un de mes amis a disparu depuis maintenant deux mois, il n’a donné aucun signe de nouvelle et son Alfa Romeo est toujours dans son garage…”

  Je sortis mon putain de calepin et je commençais à écrire toute la merde qu’il me balançait. Je sens que je vais bien m’amuser, un petit job tranquille. J’vais lui faire cracher un max de blé. Que dieu bénisse l’Amérique.

Le type qui aurait disparu serait un certain Alexander MacLeod, un putain d’écossais, ça n’en finit plus les étrangers plein aux as. Pendant que nous, vrais américains, on trime comme de la merde, eux, ils se la coulent douce en jouant au golf, se tapant nos mannequins et en achetant des voitures hors de prix. J’vais vraiment lui faire cracher un max de blé, je serai le détective le plus refait de cette putain de ville.

  “Donc il a disparu depuis environ deux mois ? Avait-il des relations étranges ? Fréquentait-il des malfrats ? Avait-il un hobby bizarre ?”

Le français me regardait d’une étrange manière.

“Avant de partir il m’a laissé certains objets… Je… Je peux vous les montrer si vous voulez, je les ai emmenés avec moi.”

“Faites donc…”

Il me sortit un vieil ouvrage, King Arthur and His Knights, il était vraiment dans un putain de sale état. Il me le tendit.

King Arthur and His Knights, vous étiez quoi des putains de chevaliers ? Je comprendrai jamais rien à l’Europe, avec vos reines et vos fromages qui puent la mort.”

“Fromages qui puent ? Bref vous ne connaissez pas ce livre ? Vous ne l’avez jamais vu ?”

Je pris le livre entre mes mains, il y avait une sorte de disquette qui servait de marque-page avec marqué au feutre noir : RtM 0.0.1 by Pr Night.. Qui était ce putain de professeur Night, cette histoire commençait à devenir louche, vraiment louche.

“Une disquette ? Vous avez essayé de la lire ?” demandais-je

“Oui…”

“Et ?”

“Et il y a juste un document texte de quelques lignes, sûrement un programme ou quelque chose dans le genre mais je ne comprends pas le langage informatique de cette époque donc j’en sais pas plus que vous.”

“De cette époque hein ? hm…”

  De cette époque, bordel ces Européens nous prennent vraiment pour des putains de macaques. Merde alors. Je sentis mes nerfs monter jusqu’au moment où je venais d’avoir une idée fantastique… à moi les strip-teaseuse et les Royce Rolls.

“Il va falloir que j’inspecte sa demeure, mais j’ai pas mal d’affaires sur le feu, il va falloir attendre deux mois environs.”

  Bien sûr que j’étais en train de bluffer, il faut bien faire monter les enchères. Ho ça va, tu aurais fait la même chose à ma place.

“Mr Smith.” me coupa le français. “J’aimerais que vous vous en chargiez ce dimanche, il faut vraiment le retrouver. Sa fille, qui est dans un collège privé en Angleterre va revenir dans un mois. J’aimerais vraiment que vous vous en occupiez le plus vite possible. Peu m’importe le prix que ça coûtera, votre prix sera le mien.”

Un grand sourire se dessina sur mon visage. Ce putain de milliardaire va me rendre riche, j’ai juste à retrouver son ami et à moi le jackpot, nous avons convenu d’un certain montant et bordel de merde je vais pas vous dire combien de dollars car je sais comment vous êtes, vous finiriez par me trouver et me liquider pour cette somme, bande de sales merdes.

Juste avant de partir il me donna son prénom : Charles-Xavier, si ça c’est pas un putain de prénom français j’m’y connais pas. Il me donna aussi l’adresse de la demeure de Alexander MacLeod.

  Le lendemain,

j’étais dans ma vieille Ford, regardant par le rétroviseur s’il n’y avait pas un putain de poulet. Je sortis une cigarette, l’allumais, pris King Arthur and His Knights ; la disquette servait de marque-page. Je commençais à lire les première lignes, ça donnait quelque chose ça :

“Lors jeta son enchantement et se mua en merveillouse figure. Car il devint uns cers li plus grans et li plus merveillous que nus eüst onques veü, et il ot un des piés devant blanc et .V. branches en son chief, les greignoures c’onques fuissent veües sur cerf.”

Je soupirais, j’y comprends que dalle bordel de merde ! Bon allons dans la demeure de ce putain d’écossais qu’on en finisse, je vais vite trouver où il est parti.

  Je sortis de ma voiture, le ciel commençait à devenir noir. Quand je vis la demeure de ce MacLeod, je n’en crus pas mes yeux. C’était un putain de Manoir. Un immense Manoir, même. Il était dans un style architectural à mi-chemin entre le Gothique et le Baroque m’avait raconté hier Charles-Xavier.

Alexander avait fait transporter cette demeure d’Ecosse, elle avait été déplacée pierre par pierre. C’est putain de riches européens sont vraiment des gros malades !

Je pris la clé que Charles-Xavier m’avait prêtée, c’était les clés du majordome qui avait disparu lui aussi, un certain Alfred. Je l’ai vu sur une fiche de paye en fouillant dans un de ces tiroirs. Putain ! Le montant était exorbitant !

Je fermais le tiroir et sortis de la maisonnette du Majordome. Je marchais dans l’immense jardin de la demeure et j’arrivais devant la porte du Manoir.

J’ouvris cette même porte. Il n’y avait pas un bruit à l’intérieur. Je marchais lentement et commençais à fouiller dans tous les tiroirs sous les lits, putain, sous les lits car il y a plus de dix chambres. Rien ! Je n’ai rien trouvé pour le moment ! Charles-Xavier m’a dit de ne pas allumer de cigarette dans le Manoir, mais j’en ai rien à battre. Et je venais de tomber sur un cigare caché dans un vieux colis, il y avait une carte postale de Big Ben avec écrit derrière:

Pour mon cher ami, Smith. C’était signé d’un certain W. Churchill.

“Smith, hein ?” Merci Monsieur W. Churchill. Même si je n’ai aucune putain d’idée de qui vous êtes. Puis ça devait surement être le cadeau pour un de ces majordomes, ancien soldat ou quelque chose comme ça. Rien à faire en faite.

Le cigare était divin. Je décidais de faire une pause en cherchant de quoi picoler. Je trouvais dans la cuisine, un bon vieux cognac, 20 ans d’âge, avec ça, l’enquête va bien avancer mes amis, trinquons pour tout ça.

“Trinquons mes amis !!!” criais-je dans le long couloir qui mène dans le salon.

Je m’assis sur un vieux fauteuil, me servis un bon verre de cognac.

Il y avait une très belle cheminée, au pire je jetterai le cigare dedans, comme ça, ni vu ni connu, Charles-Xavier aura rien vu. En haut de la cheminée, se tenait un tableau, un grand tableau même, c’est bizarre que je l’ai pas remarqué plus tôt.

Je commençais à regarder ce magnifique tableau…

“Ho… Putain de Bordel de Merde !” lançais-je en faisant tomber le cigare sur le sol en marbre. “Merde ! Je crois que je viens de retrouver Alexander MacLeod.”

“Jonathan Smith…”

Charles-Xavier venait juste d’apparaître à l’entrée du salon.

“Charles-Xavier… Merde ! Tu déconnes Vé, c’est quoi ce nom pourri ?”

“Ha enfin tu percutes ? Hey Jonathan Smith c’est pas mieux”

On éclata de rire ensemble.

J’étais donc Alexander MacLoed enfin c’était encore un nom d’emprunt, en vrai je m’appelle Alezander Z Adamadeus – 2th, et c’est une longue très longue histoire.

Bon, il était tant de changer de type de narration et de passer à la troisième personne. On se reverra peut-être en fin d’ACTE 3.

# # # # # #

Vé reprit sa forme normale, il avait la peau toute verte et écailleuse.

“Euh… Quel jour on est ? Où est mon Agenda ?” demanda Alezander

Vé balança l’Agenda à Alezander.

“Le voilà… Et on a reçu un appel de Harry.”

“Harry ? Ha merde ! C’est jamais une bonne nouvelle quand Harry nous appelle. Il y aura tout le M12 ?” Alezander se regarda, il était habillé bien évidemment en détective, et se vêtements étaient vraiment dans un piteux état. “Il va falloir que j’me change…”

Il regarda ensuite Vé.

“Quoi tu n’aimes pas le vert pâle ?” lança le Reptilien.

“Ça ne m’étonne vraiment pas que tu sois le dernier de ton espèce !”

Ils commencèrent à marcher dans le couloir.

“Où nous a donné rendez-vous Harry ?”

“La Zone 51 !”

“Merde ! Harry et Zone 51 dans la même discussion. Je commence vraiment à regretter de m’être souvenu qui je suis. Merde ! Tu aurais dû me laisser tranquille Vé…”

“…”

“Quoi ? Ok je la ferme mais j’espère que ce bon vieux Harry nous appelle pas pour rien.”

 

(à suivre…)

 

 

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