Traducteur : JetonS
Adapt : MissX
Check : ———
Ce roman « Dans la Caverne de l’Obscénité » contient des scènes sexuelles ou violentes de manière explicite. Certains éléments peuvent choquer les plus jeunes ou les plus sensibles (tags : viol, mort, fantaisie, magie, folie, tentacule, plaisir sexuel). En poursuivant la lecture de cette oeuvre, vous déclarez être majeur et vous vous engagez à prendre vos responsabilités quant au contenu des chapitres. Bonne lecture à ceux qui osent s’aventurer dans cet antre démoniaque !
Ce Novel est traduit par JetonS de l’équipe Soreyawari & Co. Si vous lisez sur un site autre que Soreyawari.com, c’est que le Novel a été volé. Ne soutenez pas les voleurs, lisez sur le site original.
Chapitre 1 – Proie Fraîche
Ce Novel est traduit par JetonS de l’équipe Soreyawari & Co. Si vous lisez sur un site autre que Soreyawari.com, c’est que le Novel a été volé. Ne soutenez pas les voleurs, lisez sur le site original.
Depuis sa confrontation avec le groupe de Frederica, le slime avait acquis des connaissances géographiques. Il connaissant l’existence d’un chemin qui menait au-delà du village au pied de la montagne.
Il connaissait le chemin, mais ne l’avait pas encore exploré de lui-même, au risque d’être découvert par des humains. Il se méfiait des aventuriers – ses ennemis naturels – et se nourrissait d’animaux sauvages au bord des routes.
Les wagons qui allaient et venaient des rues rurales ne s’éloignaient jamais très loin des routes principales. Les marchands, eux, se méfiaient des animaux sauvages et des bandits qui sévissaient dans le coin.
Ce fut ainsi que le slime attrapa et digéra les animaux qui habitaient aux alentours des routes. Le jour, le slime passait son temps dans la montagne et la caverne, à l’abri de la lumière du soleil. La nuit, le slime sortait chasser des bêtes, incapable de contrôler ses instincts, il avait dévoré tous les animaux de la montagne jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien.
Attaquer les animaux domestiques du village avait ses limites. Le slime ne mourrait pas s’il ne mangeait pas, mais il ressentait la faim et avait un appétit vorace.
De plus, il devait préparer la nourriture de Frederica. Il la violait le jour et attaquait les bêtes la nuit.
La vie du slime se résumait en ces mots.
Plusieurs jours passèrent sans autre dérangement. Dix jours après la disparition de Frederica, une nouvelle mission fut ajoutée au bulletin de bord de la guilde d’aventuriers à la capitale royale.
La guilde de la capitale royale regorgeait de travaux, l’ajout d’une autre commission n’avait pas fait beaucoup de bruits.
Toutefois, un léger problème résidait en cette commission.
Deux jours depuis la disparition de Frederica, plusieurs anciens des villages à proximité de la montagne s’étaient aventurés près de la mine. Ils étaient terrifiés depuis la disparition des aventuriers, et cela relevait maintenant du devoir des chevaliers ou des unités de mages.
Ils avaient fouillé la montagne pour trouver quelques indices. Et contre toute attente, les quelques anciens avaient trouvé un splendide bâton, et des bagages appartenant aux aventuriers.
Le limon noir digérait facilement les viandes et les plantes, mais les habits et les armures d’étoffe prenaient du temps à se dissoudre. Par facilité, il s’en était défaussé.
A ces trouvailles, les anciens avaient ramené ces affaires à la capitale royale. Pour les disparitions d’aventuriers, même si le village ne préparait aucune récompense, le pays préparerait une récompense en accord avec la difficulté présumée de l’expédition.
D’autant plus que la disparition concernait Frederica, une célébrité dans la guilde et une femme compétente. Ceux qui s’intéressaient aux détails de la commission étaient nombreux. Un mage avait disparu, et avait laissé son bâton derrière lui, un objet servant d’identification aux mages.
Que s’était-il passé ? Aucun mage ne laisserait derrière lui son bâton sans laisser de mots.
Quelque chose ou quelqu’un s’était attaqué à Frederica et aux autres aventuriers. Ce fut ce qu’en conclut la guilde des aventuriers.
« On y va ? »
« Eh …… »
Malgré la récompense, personne ne se jetait dessus. Plus la récompense était élevée, et plus les risques étaient prononcés.
Leur vie d’abord. L’argent n’avait aucune utilité aux morts.
Frederica était célèbre parmi les jeunes talents de la guilde et était un mage d’exception. Lorsqu’ils eurent vent de sa disparition, tous évitèrent la mission.
En vérité, elle avait perdu parce qu’elle avait baissé sa garde, avait commis une erreur dans les pénombres de la nuit et avait choisi la mauvaise magie à utiliser.
Cependant, cette vérité n’était pas connue des membres de la guilde.
Ce fut ainsi que le document de commission pour une enquête approfondie de la mine abandonnée de mithril fut laissé à l’abandon plusieurs jours.
Chacun détournait les yeux de cette mission et prenait les autres commissions sur le tableau de bord. Le document fut bientôt délaissé.
Une petite main s’approcha du document et le saisit.
À la suite de cela, une faible voix qui semblait se noyer dans la clameur de la guilde se fit entendre.
« …… Cette commission. »
Une petite femme l’avait prise. Elle portait un bâton disproportionné à sa taille et s’était mise sur la pointe des pieds pour l’attraper.
Ses longs, soyeux et semi-transparents cheveux platines étaient rassemblés à gauche de sa tête et pendaient en une longue queue de cheval. Elle lisait la commission avec des yeux somnolents.
Ses yeux marrons bougèrent de droite à gauche sur le document qu’elle lisait ligne par ligne.
« Satia, tu prends cette commission ? »
Un des hommes de la guilde interpella le mage qui s’était arrêté devant le tableau de bord pour lire le document.
Satia tout court. Elle n’avait pas de nom de famille, et était une ancienne esclave. Satia avait du potentiel pour la magie, par conséquent, elle avait été achetée par un aventurier pour l’accompagner dans ses quêtes.
Ses expériences d’aventurière étaient nombreuses. Elle avait été considérée comme une femme adulte dès lors qu’elle avait mis les pieds dans cette guilde. Elle ressemblait à une poupée et était de petite taille, et tous ces éléments rajoutaient du charme à son adorable apparence.
Satia était plus petite que les autres, même parmi ceux de sa tranche d’âge. Voilà pourquoi son bâton semblait disproportionné par rapport à sa taille. Son charme résidait en cette apparence enfantine.
Elle portait une longue robe de religieuse. Les aventuriers donnaient la plupart du temps une impression rustre, mais cette jeune fille aventurière était petite et charmante – c’était l’image qu’elle avait dans le cœur des autres.
Elle leva ses yeux somnolents vers l’homme qui l’avait appelée.
« … Oui. »
« Mais t’sais, c’est c’lui sur la disparition d’Frederica, hein ? Vous êtes parés ? »
« … Ah oui ? Je vais en discuter avec mon maître. »
(NDT : Maître = Goshujin-sama.)
L’homme qui se présentait comme le maître de Satia lui avait assigné la mission de lui ramener une commission.
Les récompenses étaient bonnes et c’était la seule commission sur le tableau de bord. Son appréhension s’expliquait facilement. Elle avait été une esclave par le passé et avait encore du mal avec les hommes.
Elle avait parfaitement compris qu’il était venu avec de bonnes intentions, mais elle garda une distance de sécurité avec lui. D’une réponse vague et asociale, elle lui répondit et s’éloigna sans un mot de remerciement.
Elle était la mascotte des aventuriers de la guilde. Elle, en revanche, ne pensait pas mériter leur temps.
Elle prit soin de regarder les autres commissions, il n’y avait que des trivialités où ils devaient nettoyer les allées sombres de la cité ou récolter des herbes médicinales.
Ces missions étaient davantage accessibles aux enfants pour gagner de l’argent de poche plutôt qu’aux aventuriers. En effet, les récompenses étaient maigres.
« … Celle-ci. »
« Ah, n’hésite pas à demander si tu as besoin d’aide. »
« … Oui. »
Ses réponses étaient sèches.
Elle savait au fond d’elle qu’elle aurait mieux fait de le remercier.
L’homme sourit complaisamment à la frêle voix et apparence de Satia puis retourna s’asseoir avec ses compagnons sans se soucier de la réponse de la jeune fille.
Dans un coin de la turbulente guilde d’aventuriers, se trouvait un homme qui avait la vingtaine.
Il était le maître de Satia, Alfred Will. Il avait des cheveux blonds et des yeux bleus, et était un jeune homme bien intentionné avec un sourire charmant.
Satia plaça la commission qu’elle avait prise sur la table sur laquelle était assis son maître.
« … Juste pour ça, la récompense est alléchante. »
« Vraiment ? Merci. »
Il prononça ces mots avant de réexaminer le document que Satia lui avait présenté.
Satia observa son profil en silence.
C’était le seul coin de la guilde qui semblait calme.
« … Frederica a disparu. »
« Oui, elle a l’air … »
Satia ne connaissait pas Frederica personnellement, seul Alfred avait travaillé avec elle par le passé.
L’image de Frederica dans l’esprit d’Alfred était celui d’un mage sociable et joyeux, rayonnant de beauté et de fierté.
Ils n’étaient pas assez proches pour être des amis, mais n’étaient pas non plus des étrangers. Elle avait disparu et cette commission lui était tombée sous la main.
Il savait que des dangers l’attendaient mais il n’avait pas le cœur à ignorer cette requête et à la déserter.
« La récompense est bonne, et si on acceptait ? »
« … Oui. »
Si le maître décidait, l’esclave devait se soumettre à ses ordres. Elle n’avait pas idée de l’apparence de la femme nommée Frederica, sa seule préoccupation était la sécurité de son maître durant la mission.
Sa détermination infaillible était ancrée en elle. Quand Alfred se leva, il s’approcha de Satia.
« Ce sera dangereux si on y va à deux. Je veux engager du monde. »
« … D’accord. »
Du point de vue de Satia, le talent d’Alfred à l’épée et à la magie était à un niveau monstrueux. Peu de ses congénères de Fonteau rivalisaient avec lui.
En dépit de tout, le jeune homme ne relâchait jamais ses efforts et n’était jamais vaniteux. Il choisissait toujours les commissions après avoir pesé le pour et le contre.
Pour Satia, son maître Alfred était une existence similaire au [Héros] qui l’avait sauvée de l’enfer.
Elle avait été achetée en tant qu’esclave, mais ses talents de femme n’avaient jamais été mis à disposition par Alfred. Satia ignorait si Alfred avait d’autres femmes dans son cœur, elle ne l’espérait pas. Cela faisait deux ans depuis qu’il l’avait ramenée avec lui.
Elle ne l’avait jamais servi. Et il ne lui avait jamais demandé. Des ordres qu’il lui donnait, aucun n’était déraisonnable.
Alfred la traitait précieusement, telle une jeune sœur ou une enfant. Comparé aux maîtres d’esclaves que Satia connaissait, Alfred était beaucoup trop gentil.
La jeune mage ne disait pas grand-chose et avait du mal à s’exprimer, néanmoins, ses hormones féminines étaient en pleine forme.
Elle était attirée par ceux qui lui montraient de la gentillesse. Il était excellent en termes d’apparence ou de talent, et par-dessus tout, sa nature bienveillante faisait de lui un homme parfait à ses yeux.
Toutefois, leur relation était celle de maître à esclave. Sa poitrine l’élança dès qu’elle y pensa.
Les cheveux platines de Satia se balancèrent sur la route du comptoir sur lequel elle comptait annoncer au chef de la guilde qu’elle acceptait la commission.
Ses yeux somnolents – comme toujours – étaient rivés sur le dos de son maître.
(NDT : QUESTION ! Préférez-vous que je rallonge les chapitres au détriment du rythme de parution, ou préférez-vous le rythme actuel ? J’en tiendrai compte pour les prochaines parutions.)
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merci de ce chapitre^^.
petite question le :
»
Ce Novel est traduit par JetonS de l’équipe Soreyawari & Co. Si vous lisez sur un site autre que Soreyawari.com, c’est que le Novel a été volé. Ne soutenez pas les voleurs, lisez sur le site original. » à la fin est transparent, c’est normal?
(je l’ai remarqué car les chapitre qui sorte je les copie/colle pour en faire des pdf pour les lire quand je suis hors reseaux.)
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Bonjour !
Absolument, c’est pour éviter que certains sites malhonnêtes ne ‘volent’ les chapitres à notre insu. Comme tu peux le voir, ceux qui copie/colle se retrouvent avec une petite surprise à la fin (pareil pour les programmes qui mettent automatiquement à jour dès qu’un de nos articles sort)
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j’espère que ça ne pose pas de problème que j’en fasse des pdf (à mon usage uniquement)?
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Pas de soucis ! Tant que c’est un usage personnel, vous pouvez y aller !
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merci pour le chapitre
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merci pour le chapitre
perso je préfère privilégier le rythme que la longueur des chapitres
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C’est noté !
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Pareil (Merci pour le chapitre)
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