Dans la Caverne de l’Obscénité – Volume 2 Chapitre 1 (Partie I)

Traducteur : JetonS

Adapt : MissX
Check : ———


Nouveau volume ! Et oui, le volume 1 est court, mais ne vous inquiétez pas, ce volume est ultra long. Bonne lecture !

18warningCe roman « Dans la Caverne de l’Obscénité » contient des scènes sexuelles ou violentes de manière explicite. Certains éléments peuvent choquer les plus jeunes ou les plus sensibles (tags : viol, mort, fantaisie, magie, folie, tentacule, plaisir sexuel). En poursuivant la lecture de cette oeuvre, vous déclarez être majeur et vous vous engagez à prendre vos responsabilités quant au contenu des chapitres. Bonne lecture à ceux qui osent s’aventurer dans cet antre démoniaque !


 

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Ce Novel est traduit par JetonS de l’équipe Soreyawari & Co. Si vous lisez sur un site autre que Soreyawari.com, c’est que le Novel a été volé. Ne soutenez pas les voleurs, lisez sur le site original.


Chapitre 1 – Proie Fraîche


Ce Novel est traduit par JetonS de l’équipe Soreyawari & Co. Si vous lisez sur un site autre que Soreyawari.com, c’est que le Novel a été volé. Ne soutenez pas les voleurs, lisez sur le site original.

Dans ce lieu, les égouttements permanents de l’eau des plafonds étaient accompagnés des hurlements de rancune des morts et d’un autre son énigmatique.

Une certaine zone de ce lieu était particulièrement lugubre, impure et tordue.

De cette zone, résonnait une voix sensuelle – la voix d’une femme. Une partie du plafond de cette caverne s’était effondrée et permettait à certains rayons de lumière de pénétrer ce lieu sombre.

Dans cette mine abandonnée de mithril, un monstre était né. Au plus profond de cette mine, une femme était allongée.

Elle ne dormait pas. Ses faibles bras et jambes étaient suspendus en l’air et réagissaient involontairement à la stimulation de ses hanches.

Le seul habit qu’elle portait était un maillot de corps noir. La partie inférieure de son corps était exposée à l’air libre sauf pour ses pieds qui portaient encore des bottes. Les yeux amandes qui annonçaient sa nature opiniâtre étaient embrumés et ne reflétaient rien. Ses sourcils étaient baissés, en signe de capitulation, et son visage avait perdu tout espoir.

Violée par le slime – qu’elle jugeait être un limon noir, un monstre – sa bouche qui jadis protestait sa rejection et sa réticence n’était plus qu’un orifice à la servitude des halètements et des gémissements de plaisir.

Ces derniers jours, son corps avait été ravagé jusqu’à l’exhaustion, et sa gorge la brûlait à cause des cris.

Ses fiers seins, à une époque, dissimulés sous sa robe, gigotaient violemment hors de son maillot de corps. Ses mamelons avaient la taille d’un Tootsie Roll et pendouillaient pour gronder leur existence.

Sa robe déchirée et son épais pantalon avaient été jetés par terre, preuves de l’intensité des assauts.

Quelque chose s’entortillait autour de ses jambes. C’était le limon noir, une distorsion.

Cette existence … cette existence violait Frederica et la poussait à bout de nerf.

« A-ah … ah! Ii … ehhh … iii! »

Ses jambes étaient immobilisées par un poison paralysant pour l’empêcher de s’échapper. Mais ce n’était probablement plus nécessaire pour la retenir.

Trois jours s’étaient écoulés depuis la capture de Frederica, et la femme n’avait montré aucun signe de résistance. Avait-elle abandonné ? Ou avait-elle perdu l’esprit ? Ou attendait-elle patiemment sa chance ?

Le limon noir l’ignorait, mais son objectif restait inchangé.

Il violerait cette femme.

Jusqu’à preuve du contraire, les monstres n’avaient jamais pensé par eux-mêmes. Le seul moteur qui animait les monstres était leur instinct de chasseur.

Les tentacules chargèrent son vagin et cognèrent l’entrée de son utérus, et parfois même à l’intérieur de l’utérus. Elle poussa un cri coquin lorsque le monstre caressa les profondeurs de son être. Sa taille trembla, comme pour chatouiller les tentacules. Les fluides vaginaux, ces boissons revigorantes de liquide blanc, coulèrent à flot après plusieurs minutes de viol.

Au cours de ces trois jours, l’esprit de Frederica s’était retranché dans ses dernières lignes de défense psychologique et son corps se changeait peu à peu en celui d’une docile vache à traire.

Elle, qui d’habitude le suppliait d’arrêter ces tourments, apprenait maintenant au slime quels étaient ses points faibles. Elle préférait de légères pressions sur ses lèvres vaginales, de gentilles caresses sur son clitoris puis de violents coups sur son vagin. Elle aimait qu’on la chatouille sous les aisselles et qu’on la pénètre dans l’anus rapidement et superficiellement.

Si le slime continuait de la violer dans cette caverne, elle oublierait éventuellement la parole, et se transformerait en une bête assoiffée de sexe.

« Ici – là, encoooore … »

Elle utilisa le peu d’énergie qu’elle avait récupérée après sa perte de connaissance pour agiter les hanches sur ce monstre qu’elle aurait dû haïr de tout son être. Une aventurière, qui chassait les monstres … suppliait ce même monstre qui aurait dû la tuer.

Elle savait que le monstre ne l’épargnerait pas, et qu’il ne la relâcherait pas … alors elle le suppliait de la violer.

Si quelqu’un avait connu la Frederica d’avant, elle aurait été méconnaissable à ses yeux. Elle était une sublime femme, confiante en ses propres capacités.

Mais cette Frederica n’existait plus.

Elle était devenue une femme qui écartait les jambes pour un monstre, qui l’implorait de la violer, et qui exhibait sans aucune gêne ses parties les plus intimes.

C’était la Frederica de cette mine abandonnée.

« Plus fort, plus fort … encooooore – »

Ses mots n’avaient aucune conviction. Ils ne servaient qu’à exprimer ses désirs charnels, marmonnant des mots incompréhensibles. Sa voix était frêle mais provenait du cœur.

Et alors, le slime se plia à ses exigences, il pilonna sérieusement et résolument l’intérieur de cette femme. Les tentacules percèrent la douce chair et battirent l’entrée de son utérus, ils malaxèrent violemment ses seins qui ondulèrent et frottèrent ses mamelons comme pour allumer un feu.

En dépit de la douleur éprouvée, le visage de cette femme n’affichait que joie.

Des larmes coulaient sur ses joues et son nez était empli de mucus. Un vrai visage de truie. Les prostituées auraient plus de fierté qu’elle.

« J-je – jouiiiiiiiiiiiiiis … ! »

Le corps de cette femme fut pris de violentes convulsions. Ses mots et son corps informaient le slime de son orgasme.

Satisfaite, le visage de la femme ne reflétait plus que désir et passion. Ses yeux roulèrent en arrière et elle s’évanouit.

A chaque fois que la femme jouissait, le mana de ce mage affluait dans le slime.

L’un des trois hommes qu’il avait digérés, probablement un des deux aventuriers, avait de légers résidus de mana.

Le mana ? Le mana était une chaude vitalité que le slime absorbait du corps de Frederica. Il ignorait la nature précise de cette énergie vitale créée par le corps du mage mais cela ne l’empêchait pas de se rassasier.

Ce phénomène était contre-nature. En réalité, les seules existences capables d’amasser le mana de leur entourage étaient les mages. Et le slime n’avait pas encore absorbé un mage, et il ignorait la nature de cette énergie.

Néanmoins, il avait absorbé un récipient capable de stocker du mana. Étant donné sa nature, le slime ne réfléchissait pas. Même s’il était en possession de connaissances inattendues, il ne cherchait pas à sonder les origines du mana.

Le genre du limon avait été décidé à l’instant où il avait absorbé son premier humain. Il était dicté par son instinct, le limon noir mâle se concentrait sur le viol des femmes. Les violer, et avoir des enfants.

Et il continuerait cet impitoyable manège.

Ce slime, ou ce limon noir, avait muté.

Le slime avait divisé son corps pour emprisonner les jambes de Frederica sur le sol après ses innombrables orgasmes.

Au centre de cette lumière qui rayonnait du plafond de cette mine abandonnée, une magnifique jeune femme était retenue prisonnière par des entraves noires. Elle ne portait qu’un maillot de corps qui peinait à dissimuler ses gros seins et ses bottes en cuir. Son apparence était une provocation pour les hommes.

Et alors … le slime fourra un tentacule du diamètre d’une corde dans sa bouche grande ouverte.

« Oh ––, guh –– ! »

Il ignora les cris étouffés de la femme et atteint son estomac à travers la gorge. Puis, le tentacule déversa des herbes sauvages sans toxines pour les bêtes et les humains directement dans son estomac.

Le limon noir savait probablement que les humains étaient des créatures fragiles qui mourraient s’ils n’étaient pas nourris. Il était sûrement préférable pour Frederica de manger par elle-même, mais le limon noir craignait qu’elle essaie de s’échapper.

D’autant plus qu’il avait du mal à imaginer cette femme noyée dans ses propres fluides se préparer de la nourriture. Elle tressaillait pour dessiner des cercles avec ses hanches. Avait-elle ressenti du plaisir avec ce repas ?

Une fois que le tentacule eut fini de la nourrir, il se rétracta de sa gorge.

« … Auh –– n … »

Ses hanches tremblotèrent quelques coups. La nourriture lui avait été insérée de force et son corps avait réagi à cet acte en jouissant légèrement.

Elle était à moitié inconsciente, que penserait l’ancienne Frederica si elle voyait son corps réagir à la moindre pulsation ?

Fière et courageuse, c’était le sublime et puissant mage nommé Frederica.

Dorénavant, son corps était plus sensible qu’une prostituée, et la comparer à une bête serait une insulte pour l’animal. Elle ne vivait plus que de sexe.

Une beauté. Avec un corps obscène.

Son corps était dans un état pitoyable, jamais plus elle ne redeviendrait normale maintenant qu’elle avait goûté au paradis.

Mais, son état mental était le dernier des soucis du slime.

Elle ignorait tout bien sûr, elle déhanchait son corps de tous les côtés d’un visage teint d’ecstasy et sollicitait toujours plus de stimulation … ou peut-être, sollicitait-elle un mâle.

Quant au slime, il répondait aux gestes de la femme et pénétrait son vagin avec un tentacule.

Et comme toujours … Au mépris de sa perte de connaissance, Frederica continuait de jouir. A son réveil, elle serait submergée par le plaisir jusqu’à reperdre connaissance.

Ce plaisir était peut-être une forme d’enfer.

Ce Novel est traduit par JetonS de l’équipe Soreyawari & Co. Si vous lisez sur un site autre que Soreyawari.com, c’est que le Novel a été volé. Ne soutenez pas les voleurs, lisez sur le site original.


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3 commentaires sur “Dans la Caverne de l’Obscénité – Volume 2 Chapitre 1 (Partie I)

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