Dans la Caverne de l’Obscénité – Volume 2 Chapitre 2 (Partie VI)

Traducteur : JetonS

Adapt : ———
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warning18Ce roman « Dans la Caverne de l’Obscénité » contient des scènes sexuelles ou violentes de manière explicite. Certains éléments peuvent choquer les plus jeunes ou les plus sensibles (tags : viol, mort, fantaisie, magie, folie, tentacule, plaisir sexuel). En poursuivant la lecture de cette oeuvre, vous déclarez être majeur et vous vous engagez à prendre vos responsabilités quant au contenu des chapitres. Bonne lecture à ceux qui osent s’aventurer dans cet antre démoniaque !


 

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Chapitre 2 – L’Exploration de la Mine Abandonnée


Ce Novel est traduit par JetonS de l’équipe Soreyawari & Co. Si vous lisez sur un site autre que Soreyawari.com, c’est que le Novel a été volé. Ne soutenez pas les voleurs, lisez sur le site original.

Au moment où Alfred s’écria de surprise et où Satia s’adressa à Alfred, les caresses des tentacules reprient leur cours.

Son maitre se situait derrière elle et ne voyait pas ses seins exposés à l’air libre, mais Alfred était tout à fait capable d’imaginer ce qu’elle subissait en observant les mouvements des tentacules.

« Arrête ! Enfoiré de monstre !! »

« Non, non ! – Arrête, je t’en prie ! Arrête !! »

Le mage qui jusqu’alors avait réprimé sa voix, supplia désespérément le slime de cesser ses actions.

Elle s’en fichait. Même si le slime la tuait, même si son corps était laissé à l’abandon, même s’il la mangeait, elle s’en fichait. Tout ce qu’elle demandait … était qu’on ne l’humilie pas devant son maitre. C’était son seul souhait.

« S’il – s’il te plait ! Arrê – e, ah … ! M-maitre, ne re – ?! »

Certains tentacules suçaient ses mamelons grandement élargis, tandis que d’autres malaxaient son anus.

Elle avait du mal à formuler des mots en raison des convulsions de plaisir de son corps. Normalement, pour stimuler l’anus, une longue préparation était nécessaire pour relaxer la zone, mais le poison paralysant avait servi d’intermédiaire pour pénétrer les défenses physiologiques du corps.

Les cris de Satia résonnèrent dans la mine et le slime continua ses activités.

« Là – àààà ?! Non … nooon !! »

Les esclavagistes n’avaient pas appris à Satia l’utilité sexuelle de ce trou. Elle était surprise d’être excitée sensuellement par un trou impur, par un orifice autre que son vagin, et surtout devant son homme bien-aimé.

Elle refusa ces nouvelles sensations, elle les nia et hurla. Malgré tout, le slime ignora chacun de ses mots et continua d’exploiter Satia, sans se soucier de ses tiraillements.

« Arrête – Satia ! »

Par-dessus tout, ce qui lui faisait le plus de mal était la voix d’Alfred.

Elle était amoureuse de lui. Elle le désirait. Même si elle savait que cet amour serait à jamais à sens unique, elle voulait quand même rester auprès de lui.

Elle était violée sous les yeux de l’homme qu’elle aimait, et son partenaire n’était même pas humain. Son partenaire était l’ennemi naturel de l’humanité, un monstre à vaincre, et à détruire.

« Uwah – ar-arrê … te … »

Pour commencer, aucun d’entre eux ne savait pourquoi le slime les torturait. Etait-il irrité du dérangement causé par les aventuriers ?

Cette question était sans réponse. Les membres fragiles de Satia se contractèrent violemment encore et encore à la suite de l’orgasme provoqué par la stimulation tempétueuse. Ses hanches tremblèrent violement et un fluide suinta de sa culotte au mépris de ses lèvres vaginales intouchées.

« Merde, merde ! Oi, Satia, attends-moi – j’arrive … »

Bien qu’Alfred forçât son corps paralysé à se lever, il ne réussit pas à tenir debout, même à l’aide de son épée.

A cet instant, le limon noir s’immobilisa. C’était à cause des mouvements d’Alfred. Alfred était un mage et pouvait utiliser la magie. C’était pourquoi le slime avait pris des précautions et avait administré une dense quantité de poison paralysant qui aurait dû inhiber complètement ses mouvements.

Le slime réfléchit un instant mais finit par conclure qu’Alfred n’était pas une menace.

Il retourna vaquer à ses occupations, et envoya un nouveau tentacule vers un endroit particulier qu’il relaxait depuis longtemps.

La destination était le modeste palpeur – la culotte blanche mouillée par les secrétions.

« S’il te … assez, arrête … »

De chaudes larmes coulèrent des yeux de Satia et des sanglots sortirent de sa bouche.

Elle avait atteint ses limites, et le slime voulait à présent dérober sa chasteté devant l’homme de ses rêves.

Cette situation serait invivable pour la grande majorité des femmes. Et pourtant, son esprit ne s’était pas encore brisé. Son bien-aimé se trouvait derrière elle.

Satia savait qu’Alfred était à ses côtés et elle croyait fermement qu’il la sauverait si elle tenait assez longtemps.

Etourdie par l’orgasme et sa tête remplie de pensées obscènes, elle savait ce que le slime avait l’intention de faire.

– Et pourtant, même si elle savait qu’elle devait gagner le plus de temps possible, elle avait peur de perdre sa virginité en de pareilles circonstances.

« Hiii !! »

Le nouveau tentacule dévoila sa partie intime.

Il traversa ses poils pubiens parsemés, atteignit la cible qu’il s’était fixé et –

« Hyaaan ?! »

Le tentacule se logea près de la partie intime de Satia, la zone qu’elle hésitait à toucher quand elle se masturbait.

Son clitoris.

Ses yeux avaient été embrumés par le désespoir tandis que son corps réagissait de lui-même à cette stimulation phénoménale qui lui parcourait la colonne vertébrale.

Guidée par les tentacules, sa taille se raidit. Les mains molles et ouvertes de Satia ignorèrent sa volonté et s’agrippèrent aux tentacules pour endurer ce plaisir inouï.

Ce ne fut pas suffisant pour endiguer le plaisir. Elle jouit de nouveau. Cette sensation attaqua tous ses sens et sa vision se flouta.

Ses yeux étaient grands ouverts, mais elle ne voyait rien. Elle avait du mal à respirer, elle avait l’impression que son cœur allait exploser à cause des battements expéditifs.

« Satia ! Satia !! »

« Ne – regar … – dez pas !! »

Elle était sur le point de mourir. Ce n’était pas une métaphore, elle était vraiment sur le point de mourir d’extase.

Aussitôt qu’elle y pensa, la fille jouit une fois de plus.

Et alors …

« Hiin ?! Ah, hyaaaaah ?! »

Le capuchon du clitoris, la forteresse finale de Satia, fut pris d’assaut. Sa perle de chair sensible fut exhibée à l’air libre.

Cette perle attendait d’être souillée par quelqu’un. Bien que couverte par le liquide licencieux du slime, sa beauté était sans pareille. Elle était minuscule mais le clitoris était le point faible incontesté du mage. Les tentacules se frottèrent légèrement à cette petite protubérance et des vagues de plaisir parcoururent l’entièreté du corps de Satia.

« –– ?! –– !! »

Ce plaisir intense avait incapacité ses cordes vocales. Un plaisir douloureux la fit trembler et la fit verser des larmes de bonheur.

Les tentacules continuèrent de masser ses mamelons et son clitoris, encourageant les tremblements de son corps jouissif. Pendant cette courte période de temps depuis l’arrivée d’Alfred, ce cercle vicieux de plaisir et d’orgasme avait transformé le corps de Satia en celui d’une femme.

Elle était une femme malgré l’absence de pénétration, et malgré sa virginité toute présente … Un tentacule se plaça au-dessus de son vagin entrouvert.

Son vagin, cet orifice obscène qui leurrait les hommes, secrétait en permanence des fluides licencieux. Satia, stupéfiée par le plaisir, secoua faiblement sa tête pour exprimer sa réticence.

« –– nwooon … »

Sa voix était extrêmement faible, et était représentative de sa fatigue.

Le slime ignora tous ses souhaits … et explosa cet orifice obscène à l’homme sous son corps.

Il manipula habilement ses tentacules et déplaça Satia, qui était suspendue en l’air.

« Hein … ? »

Ni Satia, ni Alfred ne comprenait ses intentions.

Alfred voyait devant lui … quelque chose … il voyait la fleur obscène de Satia. Scintillant sous la lumière des lanternes, un liquide licencieux coula de son vagin, et ce n’était surement pas le mucus du slime.

alfred

« Nooon … Maèitre, chille vous plait, r’gardez-pwas … »

« Kuh – ! »

Sa langue avait été engourdie par le poison et par ses orgasmes incessants. Sa voix était faible et chancelante.

Toutefois, la faible Satia était, à l’image de son âge, embarrassée par cette situation. Alfred détourna rapidement le regard. En dépit de ses efforts, l’image de ce liquide obscène qui coulait de cet endroit fut ancré solidement dans son esprit.

Il était un homme en parfaite santé et avait accumulé de la libido au cours du voyage. Son entrejambe avait réagi instinctivement.

Par-dessus tout, il connaissait très bien Satia. Elle avait l’apparence d’une poupée et ne montrait que rarement ses émotions. Il avait vu cette même personne jouir encore et encore d’un visage teinté d’extase et d’embarras.

Aucun homme ne resterait de marbre devant un tel spectacle.

« Ar-arrête ça – ! »

Un tentacule se déplaça près d’Alfred et le retourna.

Il se débattit autant qu’il le put pour qu’elle ne voie pas l’état de son entrejambe, mais son corps affecté par le poison avait cessé d’obéir à ses commandes.

« Ah, uuuh … »

« S-Satia, c’est … »

Une bosse était clairement visible sous son pantalon au niveau de ses entrejambes.

Satia avait reconnu ce que c’était, et elle savait parfaitement ce qu’il pensait d’elle. Son cœur palpita, non pas de plaisir, mais d’une autre émotion.

« Mai … tre … Alfred … »

« Kuh – »

Les yeux pervertis de Satia furent teintés d’une autre émotion.

Pendant ce temps, le slime enleva habilement à l’homme son – pantalon, et révéla son pénis. Ce mouvement était mécanique, sans aucune émotion attachée derrière ce geste, mais ce n’était d’aucune importance à Satia.

« Gros … ça doit, faire mal … »

Gloups.

Satia ravala sa salive.

Son corps et son esprit étaient entièrement dévoués à cet homme.

Elle pensait que les tentacules lui déroberaient sa virginité, mais peut-être que –

Des pensées prudes traversèrent l’esprit de Satia. Son corps fut transporté au-dessus de l’homme. Son corps svelte, longtemps caressé, était mouillée par le liquide du slime et sa propre transpiration.

Cet orifice inviolé se rapprocha pas à pas de son bien-aimé … de cette chose érigée qui attendait impatiemment son arrivée.

Ils se touchèrent.

« Maitre … Alfred, vais-je … avoir mal ? »

« Satia, désolé … »

Etait-ce une excuse pour ne pas avoir réussi à la protéger ?

Ou était-ce pour ce qui allait venir prochainement ?

Qu’importe, puisque pour Satia, son excuse n’avait aucun intérêt.

« Si c’est maitre Alfred … »

Le ‘gland’ s’enfonça en elle.

La terre sacrée de Satia, immaculé de tout être vivant, était étroite. Ce n’était pas assez développé pour entièrement avaler le phallus de l’homme.

Elle avait été décontractée par les nombreux orgasmes, mais la corpulence d’elle et de l’homme différait grandement.

Au mépris de la différence de corpulence, son vagin fut pressurisé par la gravité et accepta de force le pénis de l’homme jusqu’à sa base.

Alfred sentit qu’il avait trépassé un obstacle dans le vagin de Satia, tandis que la concernée sentit une chaleur intense lui remplir le vagin.

Alfred, abstinent depuis des jours, fut incapable d’endurer cette pression suprême et cette texture lascive.

Il éjacula au plus profond de Satia sans aucune chance de résister. Satia, décontractée par les récents orgasmes, jouit en même temps que lui, et en parallèle à ce plaisir, Satia versa des larmes de douleur sur le visage de l’homme.

Cependant, ces larmes n’étaient pas uniquement des larmes de douleur. En dépit des circonstances, elle éprouvait une joie non raffinée à la suite de cette union qu’elle pensait impossible.

La douleur dû à la perte de sa virginité et la semence torride lui réconfortèrent son cœur fatigué.

Le vagin de Satia était étroit. Le liquide chaleureux fut déposé dans son utérus, répondant non seulement à ses désirs charnels, mais aussi à son âme.

« A-aah … au-autant de … »

Le bonheur fleurit sur sa poitrine. Parce qu’elle le savait, que ce miracle était –

« Aahn. »

Au prochain instant, les tentacules la séparèrent du jeune homme.

« … Eh ? »

Puis, le slime enfouit un tentacule moins gros que la chose de l’homme, la chose qui l’avait pénétrée, dans le vagin.

Son esprit, empli de bonheur juste à l’instant, se figea.

« Non … »

Elle paniqua, et se débattit pour se libérer.

Cette fois, dans la zone qui avait abrité son maitre, son bien-aimé, et qui hébergerait les futurs enfants de maitre Alfred – ce monstre odieux … était rentré dedans.

« Nooon !! Non, non !! S’il te plait, arrête ! Ça appartient à maitre Alfred – !! »

Malgré tout, le tentacule s’enfouit encore plus profondément, comme pour boucher le trou et cessa ses mouvements.

– Et pourtant, même à l’arrêt, le tentacule travaillait de manière acharnée.

« Il absorbe ?! Non, quoi ?! Que fais-tu ?! Non, ne l’absorbe pas !! »

Les fluides de Satia, ainsi que les siens …

« C’est celui – de maitre Alfred ?! Le mien et celui de maitre Alfred !! »

Il absorbait la semence de l’homme.

Le limon noir était un mutant qui s’appropriait les propriétés des éléments qu’il absorbait. Le slime l’avait compris.

Et parce qu’il l’avait compris, il savait aussi qu’il avait besoin d’un jeune homme vigoureux.

Les désirs de Satia n’avaient rien à voir avec ses actions. La relation entre Satia et l’homme était complètement hors sujet.

Par conséquent, le slime avait obtenu ce qu’il était venu chercher : le sperme. Il prépara à cet instant une dose extrêmement concentrée de poison paralysant et étendit un tentacule vers l’homme immobile.

Cette fois-ci, pour obtenir des connaissances de magie de l’homme. Sous les yeux choqués de Satia, la tête d’Alfred fut engloutie par un liquide visqueux. Peu importe qui, un humain avait besoin de respirer pour survivre.

Sa bouche et son nez … sa tête entière fut submergée. ‘Respirer’ lui était impossible. Son corps était sous les effets du poison paralysant et convulsa aux affres de la mort.

Quant à Satia – alors qu’elle était soulevée en l’air par les tentacules, alors que son vagin était pénétré par un tentacule, alors que son corps était caressé de toute part … elle fut témoin de cette scène.

« Non, arrête, arrêteeeeeeeeee –– NOOOOOOOOON !! »

Les cris perçants de la poupée résonnèrent dans la mine.

Et pourtant … ces cris n’affectèrent aucunement le limon noir.

(NDT : Je ne suis pas en retard, je suis calé aux heures anglaises, nuances !)

Ce Novel est traduit par JetonS de l’équipe Soreyawari & Co. Si vous lisez sur un site autre que Soreyawari.com, c’est que le Novel a été volé. Ne soutenez pas les voleurs, lisez sur le site original.


Je n’ai pas de check, donc si jamais vous remarquez des fautes d’orthographes, n’hésitez pas à me le signaler dans l’espace commentaire ! Merci !

Si vous appréciez la traduction, ou que vous voulez lire quelques chapitres en avance, n’hésitez pas à aller faire un tour sur mon Patreon !


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2 commentaires sur “Dans la Caverne de l’Obscénité – Volume 2 Chapitre 2 (Partie VI)

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