Dungeon Defense – Volume 3 Chapitre 2 (Partie II)

Traducteur : JetonS

Adapt : ———
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Presque à l’heure ! Y’a de l’amélioration


 

ddillus

Ce Novel est traduit par JetonS de l’équipe Soreyawari & Co. Si vous lisez sur un site autre que Soreyawari.com, c’est que le Novel a été volé. Ne soutenez pas les voleurs, lisez sur le site original.


– Depuis que Mademoiselle la Générale interfère avec la vie active des soldats, les nouvelles recrues ne dorment plus. Non seulement nous nous battons avec la faim qui tenaille nos estomacs, nous manquons maintenant de sommeil. Comment sommes-nous supposés aller au champ de bataille ?

– Ce n’est pas issu d’un manuel de guerre, mais d’une leçon de vie. Les gens doivent s’instruire et comprendre le bon fonctionnement de la société. Si chacun agissait selon les conseils écrits sur un livre, le monde s’écroulerait. Même si Mademoiselle la Générale possède des connaissances inouïes et qu’elle a lu tous les livres de stratégie, elle ne doit pas interférer dans notre vie personnelle. Nous autres, humbles personnages, vivons notre vie et n’avons pas d’autres choix que de continuer de vivre notre vie. Veuillez comprendre notre dilemme !

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J’écoutai les paroles des capitaines sans broncher. Une fois qu’ils eurent finis, j’allai vers l’entrepôt et ramenai une pioche. Cette pioche faisait partie de celles utilisées par les officiers qui avaient creusé jusqu’à l’épuisement. Je m’adressai aux capitaines.

« Je vois que vos mots sont profonds de sens, vous avez très bien argumenté. Voyons jusqu’à quelle profondeur je peux enfouir vos corps. »

Les capitaines s’enfuirent.

Le mois d’après, cette irrationnalité fut réprimée au sein de l’ensemble du campement. La routine des commandants de régiments, qui attribuaient leurs devoirs aux centurions, et l’habitude des centurions, qui déléguaient leurs obligations aux décurions, disparurent. Le camp fut l’objet d’une grande purge. Plus personne n’utilisait une dette pour en rembourser une autre et plus personne ne conspirait avec des marchands pour vendre des produits à des prix exorbitants.

Farnese était une fille vicieuse. Plus cette réputation se répandait de bouche à oreille, moins les soldats la pointaient du doigt et moins souvent on entendait les officiers l’insulter de prostituée. Jusqu’à ce que finalement, les voix qui l’appelaient satanée prostituée furent remplacées par des voix qui glorifiaient son empathie envers les soldats. Si la mémoire ne me faillait pas, ce changement s’était produit aux alentours du 11ème trou creusé dans les casernes.

Les capitaines réagirent sensiblement une fois qu’ils eurent vent de la pensée des soldats. Tout comme chaque humain sentirait à l’odeur désagréable d’une flatulence, les capitaines avaient senti changement de comportement des soldats.

Les capitaines sentirent les fluctuations de l’atmosphère et obéirent au commandant. Ils avaient probablement peur d’affronter les conséquences s’ils venaient se plaindre auprès de moi. Ils se mêlèrent à la foule et crièrent ‘Hourra pour Mademoiselle la Générale Farnese !’ Les capitaines étaient prêts à lécher les bottes de Farnese et rampèrent autour d’elle. L’un d’entre eux essaya même de badigeonner sa salive sur un orteil de Farnese. A l’issue de sa tentative, Farnese lui donna un coup de pied.

Tsk tsk.

Ils étaient adorables.

Les seuls individus réfractaires étaient les décurions et les officiers haut-gradés.

Ces personnes étaient incapables de vivre sans l’argent qu’ils extorquaient aux soldats. Ils vivaient mieux que les soldats, mais moins confortablement que les capitaines. A titre de comparaison, ils seraient des racailles de rue. Ces individus n’avaient pas la matière grise requise pour s’adapter aux situations comme avaient fait les capitaines. Les officiers refusaient de se séparer de leur territoire et leur autorité.

Lorsque ces officiers tourmentaient les soldats, ils allaient loin. Ils trainaient de force les soldats jusqu’à un entrepôt reculé pour les passer à tabac. Une souris, un des nombreux familiers des sorcières, écoutait patiemment les voix qui fuitaient des fissures sur les murs.

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– Hey, sales clébards. Qui est le bienfaiteur qui est venu vous chercher dans les villages pour vous enrôler dans l’armée ? Je suis votre grand frère. Vous êtes nés dans le village et non dans l’armée, hein ? Alors respectez vos supérieurs.

– Nous sommes une unité, mais lorsque nous mourrons, nous rentrerons à la maison. Si vous ignorez vos supérieurs, pensez-vous qu’il y aura ne serait-ce qu’une seule personne pour pleurer votre mort ? Pensez-vous que cette satanée prostituée ira jusqu’à financer vos funérailles ? Cette salope vous ordonnera de mourir, elle ne prendra pas soin de vous une fois que vous serez morts.

– Hey, ne nous désobéissez pas. C’est un conseil que je vous donne. Vous pouvez crier autant que vous le voulez, cette prostituée ne viendra pas.

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Farnese ouvrit grand les portes.

« Oui. Je suis ici parce que vous m’avez appelée. »

Les soldats hurlèrent et tombèrent sur le sol. J’entendis le bruit des matériaux cassés et des outils qui s’entrechoquèrent entre eux. Je demandai à Farnese une fois cet incident résolu, et apparemment, les soldats l’avaient regardée comme s’ils avaient vu un fantôme.

« Soyez ravis de votre récompense, mes braves. Creusons des trous aujourd’hui. »

Les officiers furent forcés de creuser la terre pendant 2 jours sans dormir.

Enfin, la discipline militaire fut imposée. Les soldats s’occupèrent de leurs propres besoins. Si l’ordre ne venait pas d’en haut, même les soldats refusèrent d’obéir injustement.

Au dernier jour de notre promesse, Laura de Farnese enleva l’uniforme des soldats et revêtit l’uniforme réservée aux commandants. Une fois qu’elle prit son bain, Farnese vint me voir avec un corps propre et brillant. Sa peau était encore plus blanche que les flocons qui tombaient sur les champs et sa voix était aussi claire que le ciel dont provenait les flocons. Je n’ignorais pas la raison de sa volonté d’apparaitre devant moi avec un air pur et chaste. Et peu importe si je comprenais ses sentiments ou non, la petite psychopathe faiseuse de troubles m’informa fièrement.

« Cette jeune dame au rapport, la tâche attribuée par votre seigneurie a été accomplie avec succès. »

Ses mots rayonnaient la fierté et la suffisance de soi.

Je voulus complimenter cette fille. Je voulus reconnaitre ses efforts et sa dévotion d’être restée éveillée la nuit pour dompter les officiers, pour consoler les nouvelles recrues et pour laver ses propres habits. J’agitai ma main pour dire à Farnese de m’approcher et je coiffai ses doux cheveux avec un peigne en ivoire.

Je souris.

« Beau boulot. Tu veux boire un verre ? »

Ce Novel est traduit par JetonS de l’équipe Soreyawari & Co. Si vous lisez sur un site autre que Soreyawari.com, c’est que le Novel a été volé. Ne soutenez pas les voleurs, lisez sur le site original.

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Farnese n’essayait pas de gagner l’adoration de ses troupes. Farnese était d’avis que chaque soldat devait la craindre. Farnese ne voulait pas attiser le courage de charger vers l’ennemi, mais aviver la peur au cas où ils désobéissaient à un ordre du commandant suprême. C’était une philosophie très différente de la mienne. Toutefois, Farnese était une novice quant à l’art de se faire respecter et de se faire craindre. Ce fut la raison pour laquelle elle vint solliciter mon aide.

« Comment faire pour que les soldats craignent cette jeune dame, mon seigneur ? »

« Eh bien. Tu as une apparence angélique, ce ne sera pas facile de satisfaire ton souhait. »

« Seraient-ils terrifiés si cette jeune dame possédait une horrible cicatrice sur le visage ? »

« Bon sang, tu es une ignorante. Comment peux-tu être aussi étroit d’esprit ? Respecte-toi. »

« Les seuls à appeler cette jeune dame ignorante sont votre seigneurie et Mademoiselle Lazuli …… »

Farnese bouda soudainement. Ces derniers temps, Farnese était éduquée par Lapis et moi-même. Comparé à moi, l’éducation de Lapis était rude. Il était évident qu’une petite fillette, qui avait toujours pensé être un génie, serait découragée par ces fréquentes sévices. Je compatissais pour elle. Je parlai indirectement.

« Dois-je te donner une petite astuce ? »

Au prochain jour.

Farnese acheta 15 chiens de chasse. Le ventre des chiens de chasse étaient tellement maigres qu’ils apparaissaient efflanqués. Toutefois, leur fourrure était magnifique. La race de ces chiens était très populaire parmi les familles impériales et royales. Leur prix était très onéreux. Ces chiens ne quittaient pas leur maitre d’une semelle.

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– Je vois que Mademoiselle la Générale adore les chiens.

– Pourquoi pas, élever des chiens est un bon passe-temps. Ils peuvent détecter l’odeur des ennemis et les poursuivre, nous en profiterons indirectement.

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Les soldats se rassemblèrent en petits groupes et mâchèrent de la viande sèche. Ils essayèrent de nourrir les chiens pour s’amuser, mais les chiens de chasse ne jetèrent même pas un regard envers les bouts de viande.

Farnese achetait elle-même la nourriture dont avait besoin les chiens. La nourriture des chiens était plus onéreuse encore que celle donnée aux soldats. Quelques-uns blaguèrent se le fait que Mademoiselle la Générale nourrissait les cabots mieux qu’eux et rirent de bon cœur. Lorsqu’ils virent Farnese nourrir les bêtes d’un somptueux festin, certains se réjouirent de la voir agir en la petite fille qu’elle était, tandis que d’autres s’inquiétèrent que ses passe-temps ne nuisent à l’ordre militaire établie. D’un cœur partagé entre amusement et inquiétude, les soldats observèrent le festin somptueux des chiens avec jalousie.

Le temps pour mes troupes de partir en guerre était arrivé. Les troupes, qui avaient mangé à leur faim, avaient des yeux clairs malgré la saison hivernale. 3,500 infanteries naines, 500 cavaleries centaures, et 50 sorcières embauchées de la cité se tenaient sur les champs enneigés. Tous attendaient le discours de la générale qui était supposé annoncer leur départ. D’autres personnes étaient rassemblées aux alentours des champs, certains étaient des marchands tandis que d’autres étaient des prostituées. Ces personnes vivaient une vie nomade et suivaient les armées partout où ils allaient.

« …… »

Farnese était habillée formellement et portait une petite épée dénuée de décorations. L’apparence de la demoiselle complémentait la taille de la légère épée. Elle s’avança sur la plateforme, suivie par les chiens de chasse qui se rassemblèrent autour d’elle.

Farnese sortit l’épée de son fourreau. Au son du métal, les chiens de chasse se retournèrent derrière eux. L’épée bleu clair trancha la gorge d’un chien. Le sang coula à flot. Les autres chiens n’eurent aucune réaction. Farnese tua les 15 chiens de chasse, et jusqu’à la fin, aucun n’aboya. Le sang coula jusqu’à repeindre la plateforme d’un rouge cramoisi.

.

– ……

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Les soldats retinrent leur souffle. Ils n’osèrent pas croiser le regard de la commandante.

Les soldats craindraient cette commandante qui avait massacré sans pitié les chiens de chasse qu’elle avait élevé avec amour, ils craindraient cette générale silencieuse qui était restée de marbre devant cette exécution, et ils craindraient cette jeune fille de 16 ans qui malgré son jeune âge, s’était montrée tellement cruelle. Ils regarderaient avec effroi cette générale qui s’était donnée la peine de tuer ses animaux de compagnie, qu’elle avait élevés avec soin, au jour du départ de l’armée. Les soldats jetèrent un dernier regard sur les têtes de chiens qui roulaient par terre et se frottèrent la nuque.

Laura de Farnese ordonna.

« Avancez. »

Les troupes obéirent.

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Farnese transforma les chiens de chasse en viande séchée. L’armée se situait en ce moment à une semaine de marche du point de rendez-vous des Seigneurs Démons. Pendant une semaine, Farnese mâcha la viande de chien séchée et foudroya du regard les soldats qu’elle croisait.

A un certain jour, alors que la rivière fut gelée, nous campâmes près d’un service de transport par bateau pour nous reposer. Un petit village était situé près de la zone d’embarquement. J’interdis strictement à tous les soldats le pillage.

Au cours de l’après-midi, trois soldats furent capturés. Ces trois criminels avaient outrepassé une propriété privée pour voler et violer femmes et enfants. A l’heure où je reçus le rapport, j’appréciais le thé dans une tente à l’arrière de l’armée avec Farnese et Lapis à mes côtés. Le thé me réchauffa les intestins. J’abaissai la tasse de thé et fixai Farnese du regard.

« Tu es la générale, tu décides de leur punition. »

« Je souhaite les exécuter. »

« Exécution, tu dis ? »

Je jetai un coup d’œil rapide à Lapis et me retournai vers Farnese.

« Tu ne trouves pas que les exécuter est un acte excessif ? »

« Ils ont désobéi à un ordre militaire. De plus, ils sont les premiers agresseurs. Cette punition sera l’exemple que nous insufflerons aux autres, ce sera notre point de départ. Cette jeune dame souhaite se montrer sévère. »

Lapis brisa notre conversation et demanda doucement.

« Quelle méthode d’exécution entreprendrez-vous ? »

« Afin d’établir une discipline stricte au sein de l’armée, leurs têtes seront tranchées à la vue de tous. Cette jeune dame les décapitera. »

Lapis reposa sa question.

« Comment ? »

« …… »

« Je vous ai demandé comment, mademoiselle. »

« Que voulez-vous dire par comment ? La finalité est la décapitation de leurs têtes. »

« Vous êtes pathétique. »

Les épaules de Farnese convulsèrent quelques coups à la suite des reproches de Lapis. Depuis qu’elle était devenue sa figure maternelle, Lapis grondait et disciplinait souvent Farnese. Lapis se montrait intentionnellement aussi cruelle que le père de Lapis, qui avait traumatisé son enfance. Farnese avait souvent des difficultés à répondre correctement aux paroles de Lapis.

« Les gens sont similaires aux mauvaises herbes. Ils reviennent à la charge à chaque fois qu’on les piétine. Parmi ces nuisibles, les mercenaires sont les plus résistants. Les soldats n’apprendront pas à se tenir droit parce que trois violeurs ont été décapités. Et ils continueront à violer tant que la graine de la peur n’aura pas germé. »

« Alors que doit cette jeune dame …… »

« Réfléchissez de vous-même. Est-ce que l’objet attaché sur les épaules de la demoiselle est un seau d’eau vide ? Pourquoi venez vous me demander conseil sans utiliser votre cerveau ? »

« …… »

« Si vous êtes une vraie générale, vous n’avez pas besoin ni de mes conseils, ni de ceux de son altesse. Auparavant, vous avez insufflé la peur aux soldats par les conseils que vous a donné son altesse, et vous tentez en ce moment même d’acheter l’effroi des soldats en vous confiant à moi. Vous devrez un jour rembourser la dette que vous avez créditée à son altesse et moi-même, et le prix à payer sera votre incompétence. A chaque fois que vous emprunté des compétences, vous perdez une partie de vous-même. Mademoiselle, je ne veux pas que son altesse ait le malheur de rembourser à votre place la montagne de dettes que vous aurez collectées. »

Farnese devint silencieuse.

Je ne m’immisçai pas entre ces deux-là. Si j’interférais maintenant, Lapis serait vexée et Farnese se sentirait humiliée. Afin de laisser mes deux vassaux s’échanger des mots, et d’une certaine façon, tisser des liens, je restai silencieux.

Après une longue période de méditation, Farnese grommela.

« Cette jeune dame brandira l’épée de ses propres mains et tranchera la tête des criminels jusqu’à …… »

Slap

Farnese baissa la tête.

La joue que Lapis avait frappée devint rouge.

Lapis gronda.

« Répondez encore. »

« ……Je ne sais pas. Mademoiselle Lapis. Cette jeune dame n’a pas la moindre idée de la réponse. »

Lapis frappa la joue de son interlocutrice avec encore plus d’ardeur que la fois précédente. Farnese se blottit sur elle. Elle s’était transformée en une misérable gosse emballée dans du film d’aluminium.

« Vous ne saviez pas depuis le début. Et pourtant, vous avez inventé une réponse en espérant qu’elle soit la correcte. Si vous m’aviez avoué que vous ignoriez la réponse, vous n’auriez pas été battue, et si vous aviez médité sur la question sans prononcer un mot, les chances que celle-ci vous mette une claque auraient été nulles. Votre malhonnêteté représente votre confiance excessive de soi et votre manque d’effort représente votre incompétence. Avec quelle audace osez-vous vous vous asseoir confortablement sur ce fauteuil ? Partez immédiatement. »

Farnese fut chassée hors de la salle.

Dans cette salle, seuls Lapis et moi respirions. Le silence s’imposa en maître.

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Je n’ai pas de check, donc si jamais vous remarquez des fautes d’orthographes, n’hésitez pas à me le signaler dans l’espace commentaire ! Merci !

Si vous appréciez la traduction, ou que vous voulez lire quelques chapitres en avance, n’hésitez pas à aller faire un tour sur mon Patreon !


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6 commentaires sur “Dungeon Defense – Volume 3 Chapitre 2 (Partie II)

  1. Merci pour le chapitre.

    Sinon comme le novel est un exemple de moralité, autant y aller jusqu’au bout ; Comment les auriez vous punis pour inspirer la peur des troupes?

    Perso je leur aurais couper les membres, accrochés encore vifs comme des étendards, nourris et portés comme tels par les membres de leurs escouades pendant un bon moment.

    Aimé par 1 personne

    1. Mauvaise solution. Cette punition n’évoque que la peur et uniquement la peur. Les soldats n’auront pas peur du viol, mais de Farnese. Il faut que la punition ait un rapport direct ou indirect avec la cause de leur exécution. Ainsi, je pense que je m’inspirerais de « The Human Centiped » pour leur faire comprendre que le viol c’est mal.

      Bon je vous laisse j’ai rendez vous chez mon psy pour mon problème chronique de psychopathie.

      Aimé par 2 personnes

      1. Ils peuvent se faire violer par toute l’armée, ils serviraient de prostituer gratuite a l’armée pour toute la durée de la guerre et ça serait un exemple et une honte pour eux au retour.

        Au moins elle a pas penser a faire comme les chiens et les tuer pour en faire le repas des soldats.

        Aimé par 2 personnes

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